Vous trouverez ci-dessous les liens téléchargeables des textes concernant l’Énergie Électrique.
ARRÊTE 17 118 fixation des règles techniques de production en Énergie Électrique
Télécharger ici les documents concernant les notices d’impacts environnemental et social (NIES) et les plans d’actions de réinstallations (PAR). Ces documents ont été rédigé sur l’électrification de 70 localités et de 20 autres localités du Burkina Faso par des équipes du Projet d’appui au secteur de l’électricité (PASEL).
Le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO a procédé à la mise en service du réseau électrique de 13 villages de la province du Tuy et du Houet dans l’après-midi du dimanche 12 mai 2019, à Makognadougou, l’une desdites localités. Face aux autorités de la région, la population est sortie nombreuse pour manifester sa satisfaction.
La population de Makognadougou a constaté l’électrification de sa localité
Le processus d’électrification rurale est en cours au Burkina Faso. Le 12 mai 2019 est un jour mémorable pour les populations de Makognadougou et de 12 autres villages de la province du Tuy et du Houet qui ont été témoins de l’éclairage de leurs localités. Le Ministre de l’Energie, en compagnie des décideurs de la région, a actionné l’interrupteur mettant en service ‘’le courant’’.
Le Ministre a officiellement procédé à la mise en service de l’électrification de 13 localités
Sébédougou, Pê, Bonse, Pohin, Lopohin, Dougoumato 1, Dougoumato 2, Guié, Kongolikan, Obaga, Poya, Déguélé et Makognadougou sont les 13 localités bénéficiaires de cette électrification. Selon l’entreprise en charge des travaux, 13 guichets ainsi que 489 branchements ont également été réalisés. Ces infrastructures ont vu le jour grâce à l’accompagnement financier de la Banque mondiale à environ 1 milliard 800 millions de FCFA et vont permettre à 32 mille personnes d’avoir accès à l’énergie, a souligné le Directeur général de l’Agence burkinabè d’électrification rurale, Monsieur Ismaël Somlawendé NACOULMA.
En dépit de sa satisfaction, le maire de Makognadougou a plaidé pour l’extension du réseau à plus de localités dans la région. A ce propos Monsieur le Ministre a annoncé : « Plus d’un milliard 500 millions de FCFA ont été mobilisés pour l’électrification prochaine d’une dizaine d’autres villages de la région des Hauts-Bassins. »
Selon le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO, une dizaine de localités seront bientôt électrifiées dans la région des Hauts-Bassins.
DCPM/ME
Le Ministre de l’Energie, a rencontré la population de Sindou, chef-lieu de la province de la Léraba, région des Cascades, ce dimanche 12 mai 2019. Le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO est allé répondre aux préoccupations électriques des fils et filles de cette commune urbaine.
Porter à 19% et à 45% respectivement les taux d’électrification rurale et nationale en 2020, tel est l’objectif du département de l’énergie. C’est ainsi que le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO multiplie les démarches, comme celle de Sindou, afin de mettre à la disposition des populations du Burkina Faso ce moteur indispensable à tout développement.
« Bientôt la mise à jour du réseau électrique de Sindou », a annoncé le Ministre de l’Energie.
Dans son allocution, le 1er adjoint au maire de la cité des pics, Monsieur Yaya TOURE, a égrené les préoccupations en matière d’énergie de la commune et des villages environnants. Ces problèmes sont entre autres, les branchements anarchiques, les compteurs non adaptés, les installations délétères et les crises liées à la gestion de l’électricité par la Coopérative mise en place.
A toutes ces inquiétudes, le Ministre s’est voulu rassurant : « La SONABEL est présente pour mettre à jour votre réseau électrique. Tous les compteurs analogiques seront progressivement remplacés par ceux prépayés. »
La patience, la fraternité et la cohésion sociale, ce sont les requêtes de ‘’Monsieur Energie » à l’endroit des hommes et femmes de la commune de Sindou.
Le Ministre a appelé la population de Sindou à la cohésion sociale
Cela afin de permettre au processus d’électrification de se dérouler dans de bonnes conditions pour le développement socio-économique de cette partie du Burkina Faso.
Avant d’être face à la population de la cité des pics, le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO est allé recueillir les bénédictions du Chef de canton et des chefs religieux de Sindou.
Le Ministre de l’Energie a rencontré, dans la matinée de ce samedi 11 mai 2019, la population de la commune urbaine de Solenzo, dans la région de la Boucle du Mouhoun. Longtemps confrontée à des difficultés liées à la gestion de la fourniture en électricité, cette population a lancé un cri de coeur au premier responsable du département de l’énergie. Un appel entendu.
‘’Nous avons pris des mesures pour que l’électricité de Solenzo soit bientôt gérée par la SONABEL. L’investissement est acquis ainsi que les compteurs.’’ C’est par ces mots que le Ministre de l’Energie a rassuré les habitants de Solenzo, chef-lieu de la province des Banwa, ce 11 mai 2019. Certaines difficultés avaient, en effet, émaillé la gestion de la Coopérative d’électricité (COOPEL) de cette localité depuis 3 ans, occasionnant la quasi-inexistance de l’énergie dans plusieurs services administratifs et auprès de la population, a déploré le maire de Solenzo, Monsieur Désiré TRAORE. “Votre arrivée suscite donc un vrai espoir pour nous dans la résolution de la crise d’électricité de notre commune” a-il ajouté.
Le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO, après son engagement à rétablir l’électricité dans les normes, a appelé les uns et les autres à cultiver la recherche de la paix et de la cohésion sociale.
Le Ministre a rassuré la population de Solenzo sur la résolution prochaine du problème d’électricité
Afin de faciliter l’installation et le travail de la Nationale de l’électricité à Solenzo, des préalables sont nécessaires de l’avis de Monsieur le Ministre. Il s’agit notamment, selon lui, de mettre de l’ordre dans la gestion du réseau électrique de cette commune urbaine.
La population de Solenzo en attente d’une meilleure offre de l’électricité.
DCPM/ME
Le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO s’est rendu au siège de la Coopérative d’électricité (COOPEL) de Bama, commune rurale de la région des Hauts-Bassins, ce samedi 11 mai 2019. Etant la plus grande COOPEL du Burkina Faso, elle est aussi celle qui s’illustre de par sa bonne gestion.
Les félicitations du Ministre à la COOPEL « Bama Kini »
Les coopératives d’électricité s’occupent, entre autres de la distribution du courant électrique dans plusieurs communes urbaines et rurales de notre pays. La COOPEL de Bama fait l’unanimité auprès de ses paires dans sa gestion efficace depuis 2001, date de sa création. Pour encourager cette organisation ‘’exemplaire’’, Monsieur le Ministre de l’Energie est allé à la rencontre des membres de ladite coopérative, ce 11 mai 2019. Il s’est par ailleurs engagé à mettre à la disposition de la COOPEL de Bama, du matériel performant pour un meilleur rendement de ses activités. « Nous sommes disponibles et disposés à vous accompagner », a insisté le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO.
La coopérative, en plus de Bama, assure la gestion électrique de trois villages environnants que sont Desso, Sourkoudougou et Banarodougou. Prenant la parole, le vice-président de cette coopérative, par ailleurs chef de canton de Bama, Monsieur Oumarou SANOU, a soutenu que seules la quête du travail bien fait et la solidarité entre les membres ont permis d’engranger de tels résultats.
Quelques membres de la COOPEL « Bama Kini »
Le Ministre de l’Energie a exhorté la COOPEL a continué sur cette voie de perfectionnement et a partagé son expérience avec les autres coopératives d’électricité du Burkina Faso.
DCPM/ME
Le Ministre de l’Energie, Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO, a procédé à la mise en service officielle de l’électrification de 08 localités rurales de la région du Centre-Ouest, le vendredi 10 mai 2019, à Nariou, commune rurale située à 7 km de la ville de Sabou. La cérémonie a connu la participation de plusieurs autorités ainsi que des fils et filles de la région.
Nariou, Gounghin, Nataon,Ouezindougou, Kouloudie, Tyelle, Villy et Lilboure, sont désormais connectées au réseau électrique nationale. Ces 08 localités de la province du boulkiemdé, région du Centre-Ouest du Burkina Faso bénéficient du “courant » grâce au programme d’électrification rurale. La mise sous tension officielle a eu lieu à Nariou, à quelques encablures de Sabou, l’après-midi du 10 mai 2019.
Pour ce faire, le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO, en compagnie des autorités de la région, a actionné l’interrupteur du poteau électrique témoin. A travers ces branchements au réseau électrique, c’est la vision du gouvernement qui se matérialise selon le premier responsable du département de l’énergie. “Nous ambitionnons de faire passer de 3% à au moins 19%, le taux d’électrification rurale en 2020. Près de 200 villages seront électrifiés cette année”, a-t-il indiqué.
Le Ministre a actionné l’interrupteur du poteau témoin
“Avec cet eclairage , nos villages vont amorcer véritablement leur développement socio-économique ” s’est réjoui Monsieur Séni KOALA, habitant de la commune rurale de Nariou. Ce dernier a d’ailleurs reçu symboliquement sa 1ère facture d’électricité des mains du Ministre de l’Energie, lui-même, au cours de la cérémonie. Un geste du Dr Bachir Ismael OUEDRAOGO qui vise à inciter les bénéficiaires à s’acquitter assidûment du payement de leurs factures pour le bon fontionnement des installations. Car, a-t-il insisté :” sur chaque kWh payé, ce sont 2 FCFA qui sont prélevés pour permettre l’électrification d’autres villages ».
Remise symbolique de facture à un habitant de Nariou
Ces branchements sont à mettre à l’actif de l’Agence burkinabè d’électrification rurale (ABER). Aux dires de son Directeur général, Monsieur Ismaël Somlawendé NACOULMA, ce sont au total 21 localités rurales des régions du Centre-Ouest et des Hauts-Bassins qui sont concernées par cette phase d’électrification. Ce projet a été financé par la Banque mondiale à environ 130 millions de FCFA, a précisé le DG de l’ABER.
DCPM/ME
La continuité de la fourniture de l’énergie et l’autonomie de fonctionnement des équipements, ce sont là, quelques avantages qu’offrent les sept kits du projet back up solaire. Il s’agit des kits Solar home system (SHS) de type 1 et 2 pour les zones non encore raccordées au réseau de la SONABEL et des kits Lafi, Bila, Tambi, Tanga et Baongo adaptés aux usagers connectés au réseau national.
Afin de bénéficier des avantages du solaire, Monsieur Hubert SOME, un des souscripteurs au Baongo, est déjà rentré en possession de son kit, avec l’installation et le branchement des appareils, le lundi 13 mai 2019 à Ouagadougou. L’installation a été réalisée par l’entreprise Projet de Production Solaire (PPS).
Le bénéficiaire suivant l’évolution des travaux
Monsieur SOME bénéficie désormais du mix énergétique et dit être rassuré par rapport à l’offre proposé. « Dès que j’ai vu l’offre, j’ai vu là l’occasion d’acquérir des équipements de qualité. Ensuite la possibilité de payer à tempérament et la garantie sur trois ans ont fini de me convaincre », ainsi s’est-il exprimé. Monsieur SOME a aussi traduit sa satisfaction, au vu du professionnalisme avec lequel le travail a été fait.
« J’ai suivi les travaux depuis la visite du site jusqu’à l’installation totale et la réception du matériel. Vraiment je suis satisfait », a t-il indiqué.
Le Baongo qui est le kit le plus puissant proposé dans le cadre du projet back up solaire coûte 3 millions de F CFA. Il permet d’alimenter au moins 10 lampes 18W, 2 climatiseurs de 1 cv, 1 télévision, 2 radios, 2 brasseurs et un frigo de 1W. 12 plaques solaires de 270 Wc, 4 batteries de 150 Ah et un onduleur MPPT de 5 kvA, le composent. 
DCPM ME
La coupure de ruban
Le Dr Bachir Ismaël Ouédraogo et Son Excellence Monsieur Andrew Young, Ambassadeur des Etats Unis au Burkina Faso, ont inauguré, ce jeudi 9 mai 2019, une installation solaire photovoltaïque dans l’enceinte de l’Ambassade, sis à Ouagadougou. Cette installation a pour objectif de promouvoir les énergies renouvelables et d’améliorer l’efficacité énergétique de l’Ambassade.
A l’instar du Burkina Faso, les Etats Unis accordent une place de choix à la promotion des énergies renouvelables. Selon l’Ambassadeur Andrew Young, le gouvernement des USA est soucieux de la protection de l’environnement. « Les énergies vertes occupent une place importante dans la politique de protection de l’environnement aux USA » a-t-il expliqué.
Selon l’Ambassadeur Andrew YOUNG, les USA sont pleinement engagés dans la promotion des énergies renouvelables
C’est ainsi qu’il a procédé dans la matinée du jeudi 9 mai 2019, en compagnie du Ministre de l’Energie, Dr Bachir Ismaël Ouédraogo à l’inauguration d’une installation solaire dans l’enceinte de la représentation diplomatique. La coupure de ruban par les deux hommes a constitué le clou de la cérémonie.
D’une puissance de 376 kW, l’infrastructure est composée, entre autres de plusieurs panneaux solaires qui constituent en même temps la toiture du parking de l’Ambassade. « Les USA ont des projets d’installation de panneaux solaires dans toutes les représentions diplomatiques des Etats unis dans le monde entier », a indiqué SEM Andrew Young. Selon lui, tous ces projets visent à réduire le coût de la dépense en énergie et à faire des économies d’énergies.
Au cours de la cérémonie, le Ministre de l’Energie, a eu droit à une présentation sur le fonctionnement et les avantages du système solaire mis en place. Selon les explications de l’expert en énergie de cette enclave diplomatique, l’installation solaire va permettre d’économiser 529 MWh par an et de réduire l’émission de carbone au Burkina Faso.
Le Ministre de l’Energie a eu droit à une explication sur le fonctionnement des installations.
Le Dr Bachir Ismaël s’est dit satisfait de cet engagement du pays de l’oncle Sam en faveur des énergies renouvelables. Il a ajouté que son département, qui assure la mise en œuvre de la politique du gouvernement en matière d’énergie, est toujours prêt à encourager toute action contribuant à la valorisation et à l’adoption des énergies vertes. « C’est cette raison, qui justifie notre présence au côté de l’Ambassadeur des Etats Unis pour l’inauguration du projet d’installation solaire photovoltaïque », a-t-il conclu.
Le Dr Bachir Ismael OUEDRAOGO et ses collaborateurs en présence de l’Ambassadeur des USA
DCPM/ME
Le jeudi 14 mars 2019, le ministre de l’Energie, Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO procédait au lancement de l’étude de faisabilité du parc régional de deux fois 150 MW de la CEDEAO. Les résultats de l’étude de faisabilité de la phase 1, soit une centrale de 150 MW, étaient en examen le mardi 7 mai 2019, à Ouagadougou.
Ont prit part à cet examen, les experts du Ministère de l’Energie, de la SONABEL, du Système d’échanges électrique Ouest Africain (WAPP en anglais), des partenaires techniques et financiers dont la Banque Mondiale et les consultants Tractebel et Intec.
Cette session de travail vise à examiner le rapport de collecte de données en vue de sa validation. Elle permettra surtout d’harmoniser les hypothèses de bases qui permettront de concevoir de façon virtuelle les centrales, avant le début des travaux. Cette étape est donc importante pour toutes les instances car c’est la qualité des données, qui déterminera la qualité de l’étude et partant la bonne mise en œuvre du projet.
L’histoire retiendra que, le projet du parc solaire de la CEDEAO de 150 MW en première phase et 150 MW en deuxième phase, soit 300MW, figurait parmi les projets retenus, en décembre 2018, pour la mise en place du marché. C’était lors de la mise en place, par les chefs d’Etat et de Gouvernements de la CEDEAO, du plan directeur des moyens de production et de transport énergétique.
Selon le Directeur général des énergies renouvelables, Dr Bruno KORGHO, le parc solaire est un projet aux multiples opportunités d’accès et de choix à l’électricité pour les pays membres de la CEDEAO en général et le Burkina Faso en particulier. Il constitue un des projets phares de la mise en œuvre du marché régional de l’électricité, dont la mise en place est confiée au WAPP, l’institution spécialisée de la CEDEAO.
De la droite vers la gauche, le Directeur général des énergies renouvelables, Dr Bruno KORGHO; le Responsable du Programme Energie Dr Souleymane KONATE et le Directeur du Solaire monsieur Issaka NONGNOGO
Pour le Dr KORGHO, le désenclavement du Burkina Faso vu comme un obstacle, devient un atout du point de vue de la circulation de l’énergie. Il a expliqué que ce gigantesque projet de construction des deux centrales solaires photovoltaïques à vocation sous régionale permettra au Burkina Faso d’être importateur et exportateur, au même titre que les autres pays.
La CEDEAO regorge d’énormes ressources énergétiques
La Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) compte 15 pays. Parmi les 14 pays continentaux de la communauté, 7 disposent d’énormes sources d’énergie primaire. A l’est, le gaz du Nigéria, à l’ouest les ressources hydrauliques de la Guinée et au centre le solaire du Burkina Faso, pour ne citer que ceux-là.
L’objectif recherché à travers la mise en œuvre du marché régional de l’électricité, est de mettre toutes les ressources énergétiques de la communauté, en commun. Dans les faits, des lignes d’énergie seront construites, à l’image des autoroutes, pour relier les pays entre eux. Ainsi, l’énergie produite dans ce mix énergétique de la CEDEAO permettra à tous les membres d’avoir un meilleur accès à l’énergie et à moindre coût.
La phase 1 du parc solaire, soit la première centrale de 150 MW sera opérationnelle à 100% d’ici à 2023, a indiqué le chef de division planification, études et financement des projets (WAPP) Bernard HESSON. En attendant, les études se poursuivent afin de mettre en marche une partie de cette production à partir de 2021.
Le chef de division planification, études et financement des projets (WAPP) monsieur Bernard HESSON (au centre)
DCPM/ME
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