Le Ministre de l’Énergie, Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO, en présence de ses collaborateurs a procédé ce vendredi 29 mai 2020, à la remise technique d’infrastructures solaires aux habitants du village Zoumahiri. C’est une localité de la Commune rurale de Samorogoan, Province du Kénédougou dans la Région des Hauts-Bassins. La cérémonie a connu la participation du gouverneur de la région des Hauts-Bassins, Antoine ATIOU, de plusieurs autorités ainsi que des fils et filles de la commune.

L’électricité et l’énergie en général sont des facteurs essentiels du développement économique et social. Conscient de ce fait, le gouvernement burkinabé est déterminé à matérialiser, la volonté du président du Faso, son excellence Roch marc Christian KABORE de porter de 3%, en 2015, à 19%, d’ici à 2020, le taux d’accès à l’électricité en milieu rural.

C’est dans cette logique que le ministère de l’Énergie, à travers l’Agence burkinabè d’électrification rurale (ABER), et ses partenaires techniques et financiers multiplient les actions d’électrification. Ces efforts, conjugués des acteurs du secteur de l’énergie, ont permis d’atteindre un taux de 12 %. C’est ce qui a permis au village de Zoumahyré, dans la région des hauts bassins, d’être doté d’infrastructures solaires, ce vendredi 29 mai 2020.C’est sous les regards enthousiasmés des habitants dudit village sortis nombreux, que le Ministre de l’Énergie, Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO a procédé à la remise technique des infrastructures solaires aux bénéficiaires.

Le Ministre de l’Energie, Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO a procédé à la remise symbolique technique des infrastructures solaires à un bénéficiaire.

 

Aucun village ne sera ignoré dans cette lutte pour faire en sorte que l’énergie puisse être accessible à tous

Pour le ministre, l’accès des populations à l’électricité constitue une des priorités du Gouvernement du Burkina Faso. « Nous sommes aujourd’hui à 8 km du Mali, c’est pratiquement le dernier village du Burkina. Le symbole, c’est pour dire qu’aucun village ne sera ignoré dans cette lutte pour faire en sorte que l’énergie puisse être accessible à tous. Avec ce mécanisme, nous sommes en mesure de nous déployer en peu partout et faire en sorte qu’aujourd’hui. Les villages se sentent aussi dans le développement que nous sommes entrant d’amorcer » a-t-il indiqué.

Ce mécanisme permettra aux populations non seulement d’avoir de la lumière, mais surtout de booster les activités génératrices de revenus et d’animer les places publiques qui sont souvent désertes à la tombée de la nuit. Et d’ajouter que désormais les élèves peuvent étudier la nuit. « Au niveau des CSPS, des centre administratif nous avons la possibilité de pouvoir continuer le travail la nuit et aussi en dessous des lampadaires il y a du commerce qui est en train de s’installer », a-t-il insisté.

La venue de l’énergie apporte non seulement du confort, mais aussi un développement économique au niveau de ce village

La venue de l’énergie apporte non seulement du confort, mais aussi un développement économique au niveau de ce village. « C’est pour cela que nous allons envoyer dans la seconde phase de l’électrification solaire appliquée, que ce soit au moulin, au niveau de la soudure et de l’agriculture pour permettre d’insuffler une nouvelle dynamique économique au niveau des différents villages » a confié le chef du département d’énergie.

Ce projet va toucher plus de 439 ménages soit plus 2500 personnes

Un acte qui a ému les populations qui n’ont pas caché leur joie et ont salué l’engagement du président du Faso, Roch marc Christian KABORE à œuvrer au bien-être des populations en milieu rural. Dans son allocution, le Monsieur le maire de la commune de Samorogoan, Zoumana Alassane TRAORE a exprimé toute sa joie de voir le village de Zoumahiri électrifié. Il a souhaité l’électrification d’autres villages de sa commune. « Avec cet éclairage, notre village va amorcer très bientôt un véritable développement ” s’est réjoui le représentant du chef du village de Zoumahiri, monsieur Barro DIAKALIA.

 

Un acte qui a ému les populations qui n’ont pas caché leur joie et ont salué l’engagement du président du Faso, Roch marc Christian KABORE

A toutes ces inquiétudes, le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO s’est voulu rassurant en prenant l’engagement de faire tout ce qui est possible pour se déployer dans toutes les localités et faire de telle sorte que chacun en fonction de ses capacités puisse avoir accès à l’électricité, qui est devenu un bien universel. Il a aussi tenu à féliciter et encouragé les Forces de défense et de sécurité pour leur dévouement pour le formidable travail qu’ils abattent pour que le Burkina Faso soit en sécurité.A l’endroit de la population, plus particulièrement à la jeunesse, le ministre de l’Energie, leur a exhorté à s’organiser pour la maintenance des équipements solaires afin de pérenniser l’investissement. « Il y a déjà trois jeunes à Zoumahiri qui ont été déjà formé pour la maintenance. Je ne veux pas qu’une entreprise quitte ailleurs pour venir faire la maintenance ici. C’est vous qui devriez faire le travail » a-t-il conseillé.

A l’endroit de la population, plus particulièrement à la jeunesse, le ministre de l’Energie, leur a exhorté à s’organiser pour la maintenance des équipements solaires afin de pérenniser l’investissement

Des solutions assez originales en  se basant sur les opportunités qu’offre l’ensoleillement du Burkina

Selon le directeur général de l’agence burkinabè de l’électrification rurale (ABER), monsieur Ismaël Somlawendé NACOULMA, ce projet montre un peu l’innovation que sa structure a lancé, en imaginant des solutions assez originales. En se basant sur les opportunités qu’offre l’ensoleillement du Burkina pour apporter l’énergie aux populations. « Ici, à Zoumahiri, nous sommes venus dans un village isolé apporter l’énergie solaire. On a coutume de dire que l’eau, c’est la vie. Mais je dirais que l’énergie, c’est l’espoir. Parce qu’ici, nous avons changé les conditions de vie des populations » a-t-il indiqué. Aux dires du DG de l’ABER, il y a des perspectives de créer des projets similaires dans certaines localités du Burkina afin d’offrir de l’énergie aux populations rurales de sorte à leur donner des moyens de vivre de façon utile et propre.

Les travaux qui ont coûté près 90 000 000 FCFA, ont été réalisé par agence burkinabè de l’électrification rurale (ABER), sur le financement du conseil de l’Entente. Ce mécanisme comprend des systèmes solaires résidentiels de trois types qui ont été déployés.

Ce projet va toucher plus de 439 ménages soit plus 2500 personnes. Il y a également un ensemble de 5 lampadaires solaires pour l’éclairage public et un bâtiment abritant les guichets. Afin d’éviter la propagation du Corona virus dans leur commune, monsieur Bachir Ismaël OUEDRAOGO a offert un dispositif de lave-mains à la commune de Samorogoan.

Afin éviter la propagation du Corona virus dans leur commune, monsieur Bachir Ismaël OUEDRAOGO a offert un dispositif de lave-mains à la commune de Samorogoan

Les bâtiments publics font partie des infrastructures les plus énergétivores au Burkina Faso. Afin de permettre à l’Etat de maitriser leur consommation énergétique tout en assurant la continuité du service public, le Ministère de l’Energie a initié, en 2018, le Projet de construction de mini-centrale solaire photovoltaïque dans les bâtiments publics. Le Centre hospitalier régional (CHR) de Tenkodogo est la première infrastructure publique a bénéficié d’une installation solaire dans le cadre de ce projet.

Le Directeur général des énergies renouvelables (DGER) et celui du CHR, M. Ousmane NERE en visite sur le chantier de construction de la mini-centrale. Ils ont échangé avec les techniciens de l’entreprise INDMOVE chargé des travaux et avec le représentant de l’entreprise de suivi-contrôle.

Le projet de construction de mini-centrale solaire photovoltaïque dans les bâtiments publics vise à assurer un approvisionnement en électricité propre, fiable, sécurisé et surtout à moindre coût dans les services publics. Et la construction de la mini-centrale de 60 KWc au CHR de Tenkodogo marque le démarrage effectif de la mise en œuvre de ce projet porteur. Après seulement un mois et demi de travaux, la mini-centrale solaire de l’établissement hospitalier de référence dans la région du centre-est, est en finalisation. C’est une belle charpente faite de 220 panneaux de 275 Wc et un local technique performant contenant 72 batteries de 2000 Ah-2V qui ont été donnés à voir au Directeur général des énergies renouvelables (DGER).

Après seulement un mois et demi de travaux, l’état d’avancement du chantier est jugé satisfaisant. en témoigne cette belle illustration.

Afin de garantir le bon fonctionnement de l’ouvrage après sa mise en service prévue dans 2 semaines, Kibsa Issaka NONG-NOGO a longuement échangé avec le Directeur général (DG) du CHR, M. Ousmane NERE. A entendre le DG du CHR, les bénéficiaires ne manageront aucun effort pour la pérennisation de cette source d’énergie qui leur est salutaire. « La mini-centrale solaire constitue pour nous un véritable ouf de soulagement. Lorsque nous avons appris la réalisation de ce projet, nous nous en sommes réjoui dans la mesure où l’énergie est capitale dans le domaine de la santé », dira M. NERE.

En effet, l’énergie est un maillon essentiel de la vie et pour les secteurs sensibles comme celui de la santé, son importance n’est plus à démontrer. « Tous nos équipements fonctionnent avec l’électricité. Nous avons même des équipements qui fonctionnent à plein temps à l’énergie et lorsqu’il y’a une interruption dans la fourniture, nous sommes obligés de tout reprendre à zéro. Cela constitue une démotivation pour le personnel et surtout pour les malades. Ça contribue aussi à la dégradation du matériel sanitaire », explique le DG du CHR de Tenkodogo.

72 batteries, comme celles à l’image, seront connectées à la centrale pour emmagasiner l’énergie

Conscient que les solutions endogènes sont les plus durables, M. NONG-NOGO a encouragé les responsables du CHR à intégrer le fonctionnement de la mini-centrale solaire dans leur plan d’actions. Grâce à elle, des services sanitaires essentiels comme l’Urgence médicale, les services transversaux comme le laboratoire, l’imagerie médicale et les blocs opératoires, pour ne citer que ceux-là, seront alimentés principalement au solaire. Ainsi, la mini-centrale solaire de 60 KWc permettra au CHR de Tenkodogo de faire des économies d’échelles et surtout d’améliorer la prise en charge des patients. C’est dire qu’autant l’Administration publique gagne, mais les usagers du service public aussi.

Pour l’Etat burkinabè, ce projet est du « pain béni ». Pendant qu’en amont, il permettra d’alléger les factures d’électricité des bâtiments publics, en aval c’est la pression sur l’offre de fourniture d’électricité de la SONABEL qui sera allégée. Et pour le Ministère de l’Energie, ce sont plusieurs centaines de tonnes de gaz carbonique qui seront évitée et par ricochet des émissions de gaz à effet de serre seront réduire dans le secteur.

Le Directeur général du CHR de Tenkodogo (à gauche) et M. Boris COMPAORE, chef de service maintenancier et chargé du suivi des travaux ont rassuré le Directeur général Nong-NOGO sur leur implication à la gestion de la mini-centrale solaire de Tenkodogo.

L’objectif du projet de construction de mini-centrales photovoltaïques dans les bâtiments publics est de doter à terme 10 Centres hospitaliers, 7 Universités publiques, 15 Maisons d’arrêt et de correction et enfin l’éclairage public pour les services de Forces de défense et de sécurité, d’une source d’énergie propre.

 

DCPM ME

Le Ministre de l’Energie, Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO a visité le jeudi 14 mai 2020, quatre (4) entreprises locales de production de poteaux électriques en béton. Accompagné de ses collaborateurs, le premier responsable du département a fait une immersion dans les usines de Sys Masten à Kombissiri, SIMEEEL à Koubri, PPI vers Ziniaré et Préfabriqué Faso situé dans la zone de Ziga.

Des poteaux électriques fait à base de matériaux locaux, produits entièrement au Burkina Faso sont désormais sur le marché. Le jeudi 14 mai 2020, lors de sa sortie terrain, le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO en a visité sur le site de production de quatre (4) entreprises locales. Sys Masten est la première à avoir reçu le ministre et sa délégation. Classé 1er en Afrique et 6e sur le plan mondial, selon les mots de son PDG, cette entreprise dit avoir investi 17 milliards dans ce projet qu’il qualifie de fleuron de l’industrie Burkinabè. M. François SODJI dit produire environ 200 poteaux et emploie au moins 120 ouvriers. Son objectif, satisfaire la demande de la SONABEL et de l’Agence Burkinabè de l’électrification rurale (ABER).

Le Ministre en visite à Sys Masten. Cette entreprise qui dit employer 120 ouvriers aurait investie 17 milliards dans la production des poteaux en béton

SIMEEEL fut la 2e usine visitée par le Ministre. Là, il a pu se faire une idée claire des procédés de sélection des bons poteaux. Aux dires du Directeur général de la SONABEL, M. Baba Ahmed COULIBALY, les tests se font de concert entre leurs deux structures. « Nous testons les poteaux de façon aléatoire pour nous assurer de la qualité », a renchérit quant à lui, l’Administrateur général de l’entreprise. Pour M. Mathias ZOUBGA, la visite du Ministre est un signe d’encouragement. Ouvert en 2018, SIMEEEL produit entre 70 et 150 poteaux par jour.

 

A SIMEEEL, le Ministre a suivi toutes les étapes de fabrication des poteaux électriques en béton

Dans le domaine de la production des poteaux en béton, le Burkina Faso a fait un pas géant. Les produits locaux comme le ciment sont désormais, sur initiative du Ministre de l’Energie et sous l’impulsion de SEM Roch Marc Christian KABORE, mis en valeur. C’est ainsi que dans le cadre de mise en œuvre du Projet d’extension et de renforcement des réseaux électriques (PERREL), plus de 8 500 poteaux en béton made in Burkina ont déjà été produits par l’entreprise PPI, visité ce jour. Ces poteaux sont en train d’être installés, notamment à Ouagadougou et à Bobo-Dioulasso, explique fièrement le Directeur général de l’entreprise, M. Patrice CHEVALIER. 500 autres sont en cours de production, ajoute-t-il. PPI emploie environ 60 personnes et compte étendre à 150 d’ici quelques mois.

 

C’est dans cette usine de PPI que plus de 8 500 poteaux ont été produits pour le compte de PERREL. 500 autres poteaux sont en cours de production, pour compléter la commande.

Ce secteur d’activité offre de nombreux avantages au Burkina. Les poteaux sont disponibles dans des délais courts, moins chers et traçables. Ils sont surtout de bonne qualité. Pour le Ministre Bachir OUEDRAOGO, notre pays gagne sur toute la ligne car dit-il « Nous avons la matière première. Que ce soit le ciment, le granite, les fils et même les moules, tout est fabriqué dans notre pays. Je suis rassuré que la dynamique lancée soit en train de prendre ». La production des poteaux en béton constitue aussi un domaine créateur de main d’œuvre locale. A Préfabriqué Faso, on compte au moins 100 personnels, bientôt 200, selon les confidences du responsable Djibril KANAZOE. Dans le domaine depuis 2004, Préfabriqué Faso est le pionnier de la fabrication des produits béton au Burkina. Après avoir fait ses preuves, cette entreprise collabore avec la SONABEL depuis plus de 10 ans, foi de Djibril KANAZOE.

Le Ministre chez la pionnière des usines de production de poteaux électriques en béton Préfabriqués Faso. Cette entreprise qui travaille avec la SONABEL depuis plus de 10 ans fabriques divers produits à base de béton.

Un mois, c’est le temps qu’il faut pour qu’un poteau soit au norme et utilisable. Il constitue un des maillons essentiels du système de transport et de distribution du réseau électrique car c’est lui qui supportent les lignes aériennes de courant.Dans un pays en quête de l’accès universel à l’électricité comme le Burkina Faso, la demande en poteaux électriques est forte. La Nationale de l’électricité (SONABEL) et l’Agence burkinabè de l’électrification rurale (ABER) sont les plus importants clients de ces usines. Le Ministre Bachir Ismaël OUEDRAOGO a annoncé que tous les projets de son département, à l’image de PERREL, utiliseront à l’avenir le poteau en béton.

La création de la main d’oeuvre dans les entreprises a réjouit le Ministre. Il les a encouragé à promouvoir l’accès à l’emploi des femmes.

DCPM ME

Dans le cadre du suivi de l’exécution du Projet d’électrification des zones périurbaines de Ouagadougou et Bobo-Dioulasso (PEPU), le Ministre de l’Energie, Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO a effectué, le mardi 5 mai 2020 à Ouagadougou, une visite des réalisations. 

Le Ministre constatant l’effectivité du branchement dans un ménage à Bonheur ville

Le Ministre Bachir OUEDRAOGO, accompagné de ses proches collaborateurs, a sillonné les quartiers périphériques comme Pazany (Yagma), Rimkieta, Sondogo et Bonheurville. Il a pu s’imprégner de l’état d’avancement des travaux, qu’il a jugé satisfaisant. « Dans l’ensemble, le projet affiche plus de 90% de taux d’exécution. C’est dire qu’un travail formidable a été fait et d’ici juin tous les ouvrages seront réceptionnés », rassure le Ministre.

Les travaux ont été exécuté à plus de 90 %

Le PEPU est un projet financé à hauteur de 31 milliards de FCFA par le gouvernement burkinabè, la SONABEL et la Banque africaine de développement (BAD). Il consiste en la restructuration et l’extension du réseau électrique dans les quartiers périphériques des deux grandes villes du pays. Ce projet va permettre, surtout, de raccorder les quartiers qui existent depuis une vingtaine d’années mais sans aucun réseau.

Pour cela, plus de 1000 km de lignes électriques ont été construites. Selon le Coordonnateur du PEPU, M. Larba KERE, ces lignes ont permis de raccorder 139 sections à Ouagadougou reparties sur 9 arrondissements  que sont les N°3, 4, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12) et 2 communes rurales à savoir Saaba (plus précisément Bargo) et Komsilga. A Bobo-Dioulasso, ce sont 39 sections qui ont été raccordées dans les arrondissements 02, 03, 04 et 07.


A travers le projet PEPU, le Ministère de l’Energie ouvre désormais un autre boulevard pour les connections à l’électricité au profit des ménages et des entreprises. Le nombre total de branchements est estimé à 17 500 soit 14 500 branchements pour Ouaga et 3 000 pour la ville de Bobo dont les travaux ont été réceptionnés en juillet dernier.
Le Ministre a, à l’occasion, demander l’indulgence des populations bénéficiaires du PEPU à Ouaga car d’ici seulement quelques semaines, elles pourront approcher les services de la SONABEL pour le raccordement. Déjà, les connexions ont commencé à Bonheurville et Sondogo. Mais ceux qui veulent bénéficier des prix promotionnels devront patienter encore un peu, conseille M. KERE.

« De façon progressive, nous allons vers l’accès universel à l’électricité au Burkina Faso », se réjouit Monsieur Énergie. En effet, grâce au Projet de développement des connexions à l’électricité (PDCEL), de nombreux ménages pourront avoir accès à l’énergie, explique t-il.
L’ambition du gouvernement est de raccorder tous les ménages au Burkina Faso pour un accès universel à l’électricité à l’horizon 2030.

Le Ministre de l’Energie a marqué toute sa satisfaction aux acteurs ayant travaillé pour la réussite du projet. Il a clos sa visite des réalisations par une photo de famille.

DCPM ME