Le ministre de l’Energie, DR Bachir Ismaël OUEDRAOGO, a  représenté le ministre   de la jeunesse et de la promotion de l’entrepreneuriat des jeunes, à la  cérémonie d’ouverture de la rencontre nationale de mise en œuvre des chantiers nationaux et évaluation à mi-parcours du projet du projet « La Voix des Jeunes du Sahel », le vendredi 26 juillet 2019,  à Ouagadougou.

«  Comment imaginer le développement du Burkina Faso, sans ces jeunes-là .Le message que je voudrais vous lancer, c’est qu’il faut oser. Il faut savoir se dire qu’on peut  faire,  si les autres ont pu le faire. Même si nous allons tomber 17 fois. Nous allons nous relever 18 fois. Ce n’est pas facile, c’est vrai. Mais il faut avoir de la résilience parce que  c’est  la détermination et le courage qui amèneront le succès au bout de nos efforts » a conseillé  DR Bachir Ismaël OUEDRAOGO .

Il s’est agi  pour lui de présider  l’ouverture de la    rencontre nationale de mise en œuvre des chantiers nationaux et d’évaluation à mi-parcours du projet « La Voix des Jeunes du Sahel  », le vendredi 26 juillet 2019,  à Ouagadougou.  Il a également  interpellé  la jeunesse à s’assumer pour que  le continent africain puisse aller de l’avant. Le ministre de l’Energie a révélé  avoir   confiance à cette jeunesse qui   est  pleine d’idées et d’innovations pour faire bouger nos pays et le continent africain.  DR Bachir Ismaël OUEDRAOGO a réitéré   l’entière disponibilité du gouvernement  à être aux  côtés de la jeunesse. « Nous comptons sur vous pour que le message puisse passer et que la mobilisation de la jeunesse puisse se faire.

Pour qu’ensemble on puisse faire en sorte que notre continent soit vu comme celui qui réalise de bonnes et grandes choses. Mais pas un continent  qui est perçu chaque fois  à la télévision  comme un continent  de problèmes, de difficultés et de guerres » a-t-il confié.

DCPM/ ME

Le ministre de l’Energie, DR Bachir Ismaël OUEDRAOGO, a  représenté le ministre   de la jeunesse et de la promotion de l’entrepreneuriat des jeunes, à la  cérémonie d’ouverture de la rencontre nationale de mise en œuvre des chantiers nationaux et évaluation à mi-parcours du projet du projet « La Voix des Jeunes du Sahel », le vendredi 26 juillet 2019,  à Ouagadougou.

 

 

 

«  Comment imaginer le développement du Burkina Faso, sans ces jeunes-là .Le message que je voudrais vous lancer, c’est qu’il faut oser. Il faut savoir se dire qu’on peut  faire,  si les autres ont pu le faire. Même si nous allons tomber 17 fois. Nous allons nous relever 18 fois. Ce n’est pas facile, c’est vrai. Mais il faut avoir de la résilience parce que  c’est  la détermination et le courage qui amèneront le succès au bout de nos efforts » a conseillé  DR Bachir Ismaël OUEDRAOGO .Il s’est agi  pour lui de présider  l’ouverture de la    rencontre nationale de mise en œuvre des chantiers nationaux et d’évaluation à mi-parcours du projet « La Voix des Jeunes du Sahel  », le vendredi 26 juillet 2019,  à Ouagadougou.  Il a également interpellé  la jeunesse à s’assumer pour que  le continent africain puisse aller de l’avant. Le ministre de l’Energie  révélé  avoir   confiance à cette jeunesse qui   est  pleine d’idées et d’innovations pour faire bouger nos pays et le continent africain.  DR Bachir Ismaël OUEDRAOGO réitéré   l’entière disponibilité du gouvernement  à être aux  côtés de la jeunesse. « Nous compte sur vous pour que le message puisse passer et que la mobilisation de la jeunesse puisse se faire.   Pour qu’ensemble on puisse faire en sorte que notre continent soit vu comme celui qui réalise de bonnes et grandes choses. Mais pas un continent  qui est perçu chaque fois  à la télévision  comme un continent  de problèmes, de difficultés et de guerres » a-t-il confié.

Le Ministre de l’Energie, Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO a pris part le jeudi 25 juillet 2019, au grin blogueurs de l’Association des blogueurs du Burkina (ABB). L’objectif de cette sortie était d’échanger avec des représentants de la génération 2.0 sur l’action gouvernementale dans son volet énergie.

Le Ministre de l’Energie a été accueilli par la présidente de l’ABB

Echanges fructueux et franc parler, les discussions entre le ministre de l’Energie et les membres de l’ABB, avec à leur tête la Présidente Bassératou KINDO, ont duré plus d’une heure 30 minutes d’horloge. D’emblée, le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO a tenu à féliciter l’ensemble des acteurs du secteur de l’énergie, pour l’équilibre instauré cette année entre l’offre et la demande d’électricité. « Pendant la chaleur notre consommation augmente. Dans le passé, nous n’étions pas en mesure de faire face à cette demande croissante. Mais avec les interconnections et la production locale que ce soit la centrale solaire de Zagtouli, l’hydroélectricité et les centrales thermiques, à tout moment nous étions en mesure de satisfaire la demande même quand le pic était de 400MW ».

Par rapport à la baisse de tension, le Ministre Bachir a confié que la SONABEL est à pied d’œuvre pour renforcer les lignes de Ouagadougou à 90 kv pour donner plus de puissance. « Cela va permettre de booster l’ancien réseau qui est défaillant ».

L’électricité n’est plus un luxe, mais une denrée de première nécessité. Le Ministre a rassuré que d’année en année, son département va consolider les acquis afin que les difficultés vécues ne soient plus que de mauvais souvenirs. Il a toutefois tenu à s’excuser pour les désagréments. « Je demande votre clémence car il y’a toujours beaucoup à faire que ce soit sur le plan du transport que de la distribution ». Tous ces investissements sont coûteux, car, a-t-il expliqué, 1 MW d’électricité coute au moins 1 milliards de F CFA.

Mais avec la loi 014 qui promeut la libéralisation du secteur de l’énergie, le Dr Bachir se dit très confiant.

Par rapport à l’électrification rurale, le Ministre a partagé avec les blogueurs sa vision et celle du gouvernement qui consiste à rendre l’électricité accessible   pour le plus de personnes possibles même dans les zones les plus reculées. La preuve, « environ 300 villages ont été électrifié ces 4 dernières années par l’ABER, ex FDE, et d’ici 2020, ce sont plus de 200 autres qui le seront. Notre objectif est de booster l’accessibilité », a confié le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO. « Nous sommes à la croisée des chemins et l’avènement du solaire nous donne beaucoup d’espoirs pour le monde rural avec la possibilité de résoudre, en même temps que l’énergie, les problèmes d’eau et d’agriculture », continue le ministre. « On aura des fermes témoins d’ici la fin de cette année afin d’illustrer cela », a-t-il communiqué. Le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO n’a pas manqué d’évoquer le projet back-up solaire et les conditions souples de paiement de l’équipement.

Pour ce qui concerne la SONABEL, le ministre a annoncé qu’il est prévue un « plan Marshall » des branchements de nouveaux compteurs dits intelligents. « Nous nous sommes fixés d’atteindre 1 million d’abonnés d’ici 2020. A ce jour, nous avons un déficit de 250 à 300 connectés mais nous sommes confiants avec cette vaste opération qui se profile à l’horizon ».

Pour ce qui est les chantiers qui ont pris du retard, notamment à l’Est, pour cause d’insécurité, le ministre a rassuré que le processus a repris. Les résultats seront visibles d’ici à quelques mois.

Le ministre a remercié l’association pour l’invitation dans un contexte où les TIC constituent un outil beaucoup utilisé par les jeunes. « Etant jeune, nous sommes tous de la même génération et votre action de veille et de sensibilisation est louable », leur a-t-il affirmé.

L’énergie est au cœur du développement. Malgré les défis qui s’annonce, le premier responsable du département se veut rassurant. Le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO a donc donné rendez-vous aux blogueurs sur les terrains du développement afin de constater de visu les réalisations.

 

DCPM/ME

 

 

 

Le Ministre de l’Energie, Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO a séjourné du 21 au 23 juillet 2019 en Côte d’ivoire, avec des responsables de la Société Nationale d’électricité du Burkina (SONABEL). Il s’est agi pour le Ministre de l’Energie et sa délégation de s’enrichir de l’expérience réussie ivoirienne dans le secteur de l’énergie, afin d’apporter des solutions innovantes et structurantes aux problèmes d’accès des Burkinabè à des services énergétiques moins chers et de qualité.

 

Ce séjour a permis à la délégation du Burkina Faso, de s’entretenir avec le Ministre Ivoirien du Pétrole, de l’Energie et des Energies renouvelables, Abdourahmane CISSE, en vue d’échanger sur les préparatifs des travaux du traité d’amitié et de coopération (TAC) qui se dérouleront prochainement à Ouagadougou. A la suite de cette audience, le Ministre de l’Energie et ses collaborateurs ont visité la société ivoirienne du béton manufacturé (SBIM).

Objectif affichée, se nourrir de l’expérience de cette société dans la fabrique des poteaux électriques en béton afin que la SONABEL puisse avoir des alternatives pour offrir des poteaux moins chers et de qualité aux demandeurs. La Société NEXANS, spécialisée dans la fabrication de matériels d’électricité comme les postes transformateurs, les câbles… a également reçu la délégation Burkinabè. Dernière à être visité par le Ministre et sa délégation, la Compagnie ivoirienne de production d’électricité (CIPREL).

Il s’agit d’un exemple réussi de partenariat public privé qui peut inspirer le pays des Hommes intègres. Cette centrale, à en croire les premiers responsables, a une capacité de 556MW soit 26% de la puissance installée en Côte d’Ivoire et produit 30% de sa consommation. Pour Bachir Ismaël OUEDRAOGO, le constat sur le terrain est rassurant quant à la capacité de la Côte d’Ivoire à fournir de l’électricité au Burkina dans le cadre de l’interconnexion. « Nous devons optimiser les investissements en tandem pour amorcer ensemble un développement durable de nos deux pays » a-t-il conclu.

 

 

DCPM/ME

Une équipe du Ministère de l’Énergie, conduite par le Directeur général de l’efficacité énergétique a effectué du 16 au 23 juillet 2019, une mission de supervision à Bobo-Dioulasso et à Banfora, régions des Hauts-Bassins et des Cascades.

 

Le projet distribution et installation de 1.500.000 lampes à LED dans les ménages est une initiative du Ministère de l’Energie débutée en 2017. Son objectif est de promouvoir l’efficacité énergétique en réduisant la consommation en énergie dans les ménages du pays à travers le remplacement des lampes fluorescentes par des lampes à Diode Electroluminescente (LED).

Dans le cadre du projet de distribution et d’installation de 1.500.000 lampes à LED dans les ménages du Burkina Faso, une mission de supervision, avec à sa tête, Monsieur Ibrahim BELEM, Directeur général de l’efficacité énergétique (DGEE), a procédé du 16 au 23 juillet à la vérification des installations pour les lots 5 et 6, respectivement dans les villes de Bobo-Dioulasso et Banfora. 272.500 lampes à LED sont prévues pour la ville de Sya et 32.000 pour la cité du paysan noir.

« Cette sortie du Ministère de l’Energie vise à vérifier deux aspects du projet auprès des entreprises commises aux travaux. Il s’agit du respect des clauses et de l’impact du projet sur les bénéficiaires » a justifié  le DGEE.

Le DGEE, Ibrahim BELEM, a procédé à la supervision des installation avec son équipe

A Bobo-Dioulasso, l’équipe a constaté l’effectivité des démarches de l’entreprise, Générale africaine des services (GAS), entreprise en charges de l’installation des lampes. Une soixantaine de jeunes bobolais ont bénéficié d’un emploi à partir du projet. Seydou KONE est l’un d’eux. Il se réjouit de l’opportunité de ces installations « Les gens continuent de nous faire appel pour d’autres dépannages en dehors du projet parce qu’ils ont désormais confiance en notre travail d’électricien. Ce qui nous rapporte davantage d’argent pour nos familles. »

Aussi bien à Banfora, qu’à Bobo-Dioulasso, l’équipe de supervision est allée à la rencontre de plusieurs ménages. Les bénéficiaires sont unanimes quant à l’efficacité des lampes à LED « Au début la luminosité était très forte mais avec le temps nous nous sommes habitués. L’éclairage est vraiment plus intense que celui de nos anciennes lampes », a soutenu Monsieur Cheick Abdoul BANAZARO, habitant de Bobo-Dioulasso.

Madame Richanata SOMANDA, à Banfora, insiste sur le caractère lumineux des lampes à LED « Avant, pour l’éclairage de toute notre cour, nous avions besoin d’allumer trois (03) ampoules. Maintenant une seule suffit largement »

RIchanata SOMANDA « Une seule lampe suffit à éclairer toute notre cour. »

Selon Sékou KONE, habitant de la cité du paysan noir, évoque, lui, une incidence remarquable sur sa facture d’électricité « Nous sommes passés des factures d’environ 40.000 F CFA à des factures d’environ 35.000 F CFA. Notre souhait est vraiment que tous les ménages du Burkina Faso puissent bénéficier de ce projet ».

L’équipe de supervision en compagnie du 2e adjoint au maire de Banfora, Siaka SOULAMA (en boubou rouge)

 

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Le projet de réalisation de la centrale solaire photovoltaïque régionale de Kodeni vient de bénéficier, ce lundi 22 juillet 2019, d’un financement de 20 millions d’euro soit 13,12 milliards de FCFA. Le don lui a été fait par la république d’Allemagne à travers la KFW, en marge d’une cérémonie de signature de trois contrats de financement. Le paraphe a eu lieu entre le Ministre en charge de l’Economie Monsieur Lassané KABORE et la directrice du Bureau de la KFW au Burkina Faso Madame Verena LECHUITON.

 

Le Directeur de Cabinet Monsieur Idrissa KONDITAMDE a exprimé toute la reconnaissance du département poue ce don

Dans le cadre de la mise en œuvre de sa politique de promotion du mix énergétique, le ministère de l’Energie, a inscrit dans ses actions fortes la réalisation d’une centrale solaire photovoltaïque régionale dans les Hauts-Bassins, plus précisément à Kodeni, localité située au sud de la ville de Bobo-Dioulasso. Le projet qui sera mis en œuvre par la Société nationale d’électricité du Burkina (SONABEL) vient ainsi de bénéficier d’un financement de plus de 13 milliards de F CFA de la KFW.

 

Pour Idrissa KONDITAMDE, Directeur de cabinet, représentant le Ministre de l’Energie, « C’est un réel motif de satisfaction et de soulagement (…) qui va permettre d’améliorer l’offre et de satisfaire davantage la population ». En effet, la centrale viendra accroitre l’offre d’électricité grâce à une énergie propre et moins onéreuse. Elle aura une puissance de 14 MW dans un premier temps, puis 34 dans la deuxième phase.

« Je suis heureux de soutenir le Burkina Faso dans le secteur des énergies renouvelables. Vous avez vraiment un potentiel qui mérite d’être exploité », ainsi s’est exprimé SEM Ingo HERBERT, Ambassadeur de la République d’Allemagne au Burkina Faso.

De la droite vers la gauche,le Ministre en charge de l’Economie Monsieur Lassané KABORE, l’Ambassadeur de la République d’Allemagne au Burkina Faso SEM Ingo HERBERT et la directrice du Bureau de la KFW au Burkina Faso Madame Verena LECHUITON

Au total, ce sont environ 26 milliards de F CFA de don que la République d’Allemagne a fait au gouvernement du Burkina Faso en soutien à trois secteurs sociaux. Cela traduit, selon le Ministre Lassané KABORE « l’attachement entre deux peuples et le fort désir de l’Allemagne, notamment de la KFW, d’accompagner les populations du Burkina Faso dans des domaines stratégiques » comme la gouvernance financière, l’eau potable, les énergies renouvelables.

 

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Le Représentant résident du PNUD au Burkina Faso, Monsieur Mathieu Ciowela, a été reçu en audience par le  Ministre de l’énergie, Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO, ce jeudi 18 juillet 2019 à Ouagadougou. Le Ministre et son hôte ont échangé au tour de la collaboration entre leurs institutions.

 

Le représentant résident du PNUD au Burkina Faso, a confié que sa structure  met déjà en œuvre,  plusieurs activités  pour soutenir les efforts de gouvernement burkinabè en matière d’énergie, d’accès à l’énergie électrique et particulièrement à l’énergie solaire. « Nous sommes en train de développement un grand  programme d’appui.

 

Nous sommes venus ainsi solliciter ses orientations sur certaines initiatives qu’il a évoqué et sur lesquelles nous comptons également apporter notre appuie » a révélé Monsieur Mathieu Ciowela.  Le Représentant résident du PNUD au Burkina Faso a exprimé sa satisfaction de l’entretien qu’il vient d’avoir avec le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO.  «  Nous avons trouvé en la personne de monsieur le ministre quelqu’un d’engagé, qui sait exactement ce qu’il faut faire pour relever les défis du secteur», s’est-il réjoui.

D’après  monsieur Ciowela, il y’a une convergence de point de vue  entre son hôte et lui, sur le rôle que le secteur de l’énergie doit jouer dans la transformation structurelle de l’économie au Burkina Faso.

 

 

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De l’obscurité à la lumière, trois ménages de la ville de Koudougou sont désormais éclairés grâce au projet back-up solaire. Les équipements ont été installés le mardi 16 et le mercredi 17 juillet 2019 par les agents de l’entreprise Elioth system.

Accroître l’accessibilité des populations à l’électricité, c’est l’objectif visé à travers le projet back-up solaire. Il est accessible à tout le monde et concerne tout le territoire national. Raison pour laquelle, parcourir des centaines de kilomètres pour aller installer les kits back-up solaires sans que cela n’influe sur le coût, constitue une des clauses du contrat signé avec les entreprises commises pour les installations.

Après Ouagadougou et Bobo-Dioulasso, des ménages de la ville de Koudougou viennent de rentrer en possession de leur kit. Domiciliés, pour la majorité, au secteur 10 de la cité du cavalier rouge, ces familles bénéficiaires ont été retenues suite à la sélection des premiers attributaires sur la liste des souscripteurs.

« Lorsque j’ai appris que mon dossier a été accepté, c’était un grand soulagement. Moi j’ai souscrit pour mon neveu qui est élève pour ne plus me tracasser pour le paiement des factures », confie madame Nongma ZONGO. Le bénéficiaire du nom de Zongo Salam, quant à lui, a tenu à assister à toutes les étapes de l’installation. C’est après avoir testé son matériel que Salam, élève en terminale, a consenti à répondre à nos questions. « Le projet est vraiment bien pensé. J’ai désormais une télévision et une radio pour m’informer, en plus d’un ventilateur et une lampe torche. Je suis un privilégié. Vivement que le projet s’étende à d’autres personnes et qu’ils fassent des heureux comme moi ».

 

L’installation se déroule sous le regard de Salam Zongo, en tee-shirt jaune

Justin ZONGO, autre bénéficiaire dit avoir été informé par une tiers personne. « J’ai une connaissance qui m’en a parlé. Je n’ai pas hésité un seul instant.  Ce projet est une aubaine pour nous autres qui n’avons pas la SONABEL ».

Monsieur Justin Zongo (en haut vert foncé) suivant scrupuleusement les explications des techniciens sur l’utilisation du kit

« Je vis dans la cour familiale depuis ma naissance, c’est seulement maintenant que nous avons accès à l’électricité », témoigne Zongo Koud-raogo, Kombi-naba, domicilié au secteur 10 de Koudougou, plus de la quarantaine. « J’ai une dizaine d’enfants, certains sont au collège. J’ai payé les piles fatigué. Maintenant, mes enfants seront dans de meilleurs conditions pour étudier », s’est réjoui le chef.

Zongo Koud-raogo, Kombi-naba entrain de signer son contrat

Grâce à ce vaste projet d’autonomisation énergétique, les populations ont la possibilité de se doter d’équipements solaires de qualités certifiées et capables de couvrir leurs besoins. « Le Back-up solaire est subventionné afin qu’il soit accessible à nos populations. Les coûts vont de 160 000 à 3 millions de F CFA, dixit le Ministre de l’Energie, payable à tempérament sur 3 ans et à taux zéro ».

 

Les inscriptions continuent. Pour souscrire, cliquez sur ce lien https://backup.energie.bf

 

DCPM/ME

 

Une mission du Ministère de l’Énergie a séjourné du 08 au 14 juillet 2019, dans le cadre de la mise en œuvre du projet 1 500 000 lampes à LED, à Diébougou et à Gaoua dans la région du sud-ouest. L’objectif de cette sortie était de vérifier l’effectivité de l’installation de 25 000 lampes LED dans les ménages raccordés au réseau de la SONABEL de ces deux localités.

 

 

Dans le cadre de la mise en œuvre de sa politique de l’efficacité énergétique et de promotion des économies d’énergie, le Ministère de l’Energie a inscrit dans ses actions fortes, la distribution gratuite de 1.500.000 lampes à LED dans les ménages raccordés au réseau SONABEL. L’opération suit son cours dans la région du sud-ouest, à Diébougou et à Gaoua où 25 000 lampes à LED devront être installées. Dans ces deux localités les entreprises commises pour le travail procèdent au remplacement des lampes fluorescentes avec des lampes à Diode Electroluminescente (LED) dans chaque ménage raccordé au réseau SONABEL.

Pour vérifier effectivité du remplacement des lampes fluorescentes par les entreprises, une équipe de supervision dépêchée par le Ministère de l’Énergie a sillonné les deux localités.

En procédant au porte à porte, la mission a pu toucher du doigt cette réalité et échanger directement avec les bénéficiaires sur le nombre de lampes installées dans les ménages.

 

« Nous avons reçu trois lampes. Franchement ces lampes-là éclairent très bien, par rapport aux anciennes lampes. Tout est claire. On remercie le gouvernement pour cet appui » confie Konaté Mariam, habitante au secteur 2 de Diébougou. Les bénéficiaires des deux localités sont tous unanimes sur la qualité des lampes à LED. Aussi, lors de son passage à Diébougou et à Gaoua, l’équipe du Ministère de l’Énergie a rendu une visite de courtoisie aux autorités communales. Elle a été reçue par le Maire de Diébougou, Alphonse Somda et celui de Gaoua, Kambou Fiacre.

Tous deux ont promis leur disponibilité et leur engagement à soutenir le projet pour une mise en œuvre réussie. Cette opération qui sera étendue progressivement sur toute l’étendue du territoire, permettra à terme, la réduction de la consommation d’une puissance de 19,9 MW.

DCPM/ME