Le Ministre de l’Energie a constaté l’avancée des travaux du projet de renforcement de la centrale thermique de Kossodo

Le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO a effectué une visite sur le site du projet de renforcement de la centrale thermique de Kossodo (PRCK) à Ouagadougou, le vendredi 14 février 2020. Cette sortie vise, pour le Ministre de l’Energie, à s’enquérir de l’avancée des travaux de renforcement de 50 MW de cette centrale.

Onze (11) mois après son lancement survenu le 14 mars 2019 à Ouagadougou, le projet de renforcement de la centrale thermique de Kossodo (PRCK) connaît une avancée notable. C’est ce qu’a noté le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO qui est allé constater de visu les travaux le vendredi 14 février 2020. Accompagné d’une forte délégation de son département, le Ministre de l’Energie a eu droit à une présentation du plan de masse et une visite guidée du chantier. Les travaux de renforcement consistent entre autres à la réalisation d’une centrale équipée de trois (03) groupes diésels identiques totalisant 50 MW et une extension du poste 90/15 KV. Avec ce supplément, la centrale de Kossodo deviendra la plus importante du Burkina Faso en terme de puissance installée soit 110 MW. Des installations électriques, en passant par la plomberie, la mécanique, … le taux d’avancement physique des travaux est de 67,9%. Une satisfaction pour le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO : « Les besoins sont énormes et il faut tout faire pour que les populations puissent avoir accès à une énergie de qualité. Je puis vous dire que nous sommes satisfaits car quand nous regardons la programmation c’est sûr que nous aurons cette centrale avant le délai ».

Le taux d’avancement physique de la centrale est de 69,7%

Le Groupement TECMON/VPOWER est l’entreprise en charge des travaux. Selon M. François Sanvi SODJI, Président directeur général de l’entreprise, le 03 novembre prochain, date de livraison de la centrale sera respectée « Nos ingénieurs sont à pieds d’œuvre nuit et jour pour cela. La plus importante pièce de la centrale sera prête d’ici le mois d’avril ». Cependant le PDG de TECMON/VPOWER a relevé quelques difficultés. A ces préoccupations M. Energie s’est voulu rassurant : « Nous travaillerons à lever tous les goulots d’étranglement ».

Le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO rassure sur son engagement à œuvrer pour le bon déroulement des travaux du projet de renforcement de la centrale thermique de Kossodo

Le coût des travaux s’élève à plus de 52 milliards de francs CFA financé par l’Etat burkinabè et la Banque islamique de développement (BID).
En plus du PRCK, le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO a visité la centrale électrique de Kossodo déjà existante. M. Energie a parcouru la salle des machines, les ateliers de mécaniques pour ne citer que ceux-là. Dans tous ces bâtiments, le Ministre a échangé avec les techniciens à qui il a traduit toute sa reconnaissance pour le travail abattu pour la fourniture de l’électricité aux populations. « Je suis venu vous dire merci pour tous les efforts que vous abattez au quotidien. Nous approchons de la période de canicule qui est un moment de forte demande d’énergie et vos efforts sont encore attendus », a-t-il souhaité.
Cette visite du Ministre de l’Energie a été fortement appréciés par le personnel de la centrale. Les techniciens,  en effet,  à travers leur représentant, M Félix TOPAN, sollicité du Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO, que de telles rencontres d’échanges puissent se perpétuer à l’avenir.

Le personnel de la centrale thermique de Kossodo a salué la visite du Ministre de l’Energie

 

DCPM/ME

Le Ministre de l’Energie a constaté l’avancée des travaux du projet de renforcement de la centrale thermique de Kossodo

Le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO a effectué une visite sur le site du projet de renforcement de la centrale thermique de Kossodo (PRCK) à Ouagadougou, le vendredi 14 février 2020. Cette sortie vise, pour le Ministre de l’Energie, à s’enquérir de l’avancée des travaux de renforcement de 50 MW de cette centrale.

Onze (11) mois après son lancement survenu le 14 mars 2019 à Ouagadougou, le projet de renforcement de la centrale thermique de Kossodo (PRCK) connaît une avancée notable. C’est ce qu’a noté le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO qui est allé constater de visu les travaux le vendredi 14 février 2020. Accompagné d’une forte délégation de son département, le Ministre de l’Energie a eu droit à une présentation du plan de masse et une visite guidée du chantier. Les travaux de renforcement consistent entre autres à la réalisation d’une centrale équipée de trois (03) groupes diésels identiques totalisant 50 MW et une extension du poste 90/15 KV. Avec ce supplément, la centrale de Kossodo deviendra la plus importante du Burkina Faso en terme de puissance installée soit 110 MW. Des installations électriques, en passant par la plomberie, la mécanique, … le taux d’avancement physique des travaux est de 67,9%. Une satisfaction pour le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO : « Les besoins sont énormes et il faut tout faire pour que les populations puissent avoir accès à une énergie de qualité. Je puis vous dire que nous sommes satisfaits car quand nous regardons la programmation c’est sûr que nous aurons cette centrale avant le délai ».

Le taux d’avancement physique de la centrale est de 69,7%

Le Groupement TECMON/VPOWER est l’entreprise en charge des travaux. Selon M. François Sanvi SODJI, Président directeur général de l’entreprise, le 03 novembre prochain, date de livraison de la centrale sera respectée « Nos ingénieurs sont à pieds d’œuvre nuit et jour pour cela. La plus importante pièce de la centrale sera prête d’ici le mois d’avril ». Cependant le PDG de TECMON/VPOWER a relevé quelques difficultés. A ces préoccupations M. Energie s’est voulu rassurant : « Nous travaillerons à lever tous les goulots d’étranglement ».
Le coût des travaux s’élève à plus de 52 milliards de francs CFA financé par l’Etat burkinabè et la Banque islamique de développement (BID).
En plus du PRCK, le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO a visité la centrale électrique de Kossodo déjà existante. M. Energie a parcouru la salle des machines, les ateliers de mécaniques pour ne citer que ceux-là. Dans tous ces bâtiments, le Ministre a échangé avec les techniciens à qui il a traduit toute sa reconnaissance pour le travail abattu pour la fourniture de l’électricité aux populations. « Je suis venu vous dire merci pour tous les efforts que vous abattez au quotidien. Nous approchons de la période de canicule qui est un moment de forte demande d’énergie et vos efforts sont encore attendus », a-t-il souhaité.
Cette visite du Ministre de l’Energie a été fortement appréciés par le personnel de la centrale. Les techniciens ont, à travers leur représentant, M Félix TOPAN, sollicité du Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO, que de telles rencontres d’échanges puissent se perpétuer à l’avenir.

 

DCPM/ME

Le Premier Ministre SEM Christophe Marie Joseph DABIRE a procédé le jeudi 6 février 2020 à l’ouverture officielle de la réunion conjointe des Ministres des Hydrocarbures et de l’Environnement de la CEDEAO. Les centres d’intérêt de cette importante rencontre sont l’amélioration de la qualité des produits pétroliers et la préservation de l’environnement dans l’espace. La rencontre a lieu sous la coprésidence des ministres burkinabè de l’Energie, Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO et de l’Environnement Batio BASSIERE.

Le Premier Ministre (2e à partir de la droite) SEM Christophe Marie Joseph DABIRE, patron de la réunion conjointe des Ministres s’est réjouit de cette initiative de la CEDEAO

Doter la communauté d’une réglementation plus stricte afin d’éliminer la teneur en soufre dans le carburant constitue depuis quelques années, un souhait cher aux Chefs d’Etats de la CEDEAO. Pour le Ministre de l’Energie, Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO, la présente rencontre « amorce la concrétisation de ce vœu et illustre la volonté politique … pour le développement d’un secteur des hydrocarbures harmonisé et écologique ». Un mois après la tenue du COP 25 sur les changements climatiques, le Ministre burkinabè de l’Environnement, lui se réjouit de la tenue de cette réunion ministérielle sur les hydrocarbures et l’environnement. Cela entre, en droite ligne de la politique mondiale qui place la question de l’énergie et celle de la protection de l’environnement au centre de toutes les préoccupations. dixit Batio BASSIERE.

C’est le Ministre burkinabè de l’Environnement, Batio BASSIERE, par ailleurs coprésident de la réunion conjointe qui a livré le discours du Premier Ministre

Et les préoccupations de cette réunion conjointe des ministres sont liées à deux thématiques majeures. Il s’agit de l’harmonisation de la spécification des produits pétroliers, produits et/ou commercialisés au sein de l’espace. La question de la limitation des émissions de gaz et de particules par les véhicules et celle de la réglementation de l’âge des véhicules font partie de ces concertations. L’objectif recherché par l’institution sous régionale est de permettre à sa population d’utiliser du carburant propre, c’est-à-dire débarrassé du souffre et d’autres constituants nocifs pour la santé.

Tous les 15 Etats membres de la CEDEAO étaient représentés. Ainsi que les exploitants et organisations des secteurs des hydrocarbures et de l’environnement

L’autre thématique, mais non moins important, qui est débattu lors de cette réunion conjointe, c’est la vulgarisation du Gaz à pétrole liquéfié (GPL) en remplacement de l’usage du charbon de bois et du bois de chauffe comme combustible domestique. La CEDEAO entend rehausser le taux régional d’accès au GPL qui est actuellement de 12%.

Le Ministre de l’Energie, Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO a félicité l’ensembles des parties prenantes pour les efforts consentis. Il les a aussi exhorté à mutualiser leurs forces afin d’empêcher que la zone CEDEAO ne soit le dépotoir des véhicules.

« L’ampleur des défis nécessite une forte volonté politique » et c’est en cela que le chef du Gouvernement a salué la clairvoyance des Chefs d’Etat qui ont, dit-il, guidé notre région vers l’intégration énergétique par la création d’un marché régional de l’électricité et la promotion des énergies vertes. Il a rappelé que dans le cadre de la mise en œuvre du PNDES, le Gouvernement burkinabè accorde déjà la plus grande priorité à l’accès aux services énergétiques modernes et à la gestion durable des ressources naturelles et environnementales.

M. Sediko DOUKA, Commissaire Energie et Mines de la CEDEAO a rassuré l’ensemble des participants que la CEDEAO ne ménagera aucun effort jusqu’à l’élimination de la teneur en soufre dans le carburant.

Le Premier Ministre a salué cette rencontre conjointe des ministres initiatives de la CEDEAO et souhaité qu’elle aboutisse à des conclusions importantes qui pourront renforcer le cadre légal et réglementaire et surtout créer une synergie d’actions entre les pays membres.

 

DCPM ME

 

 

Le Secrétaire général du Ministère de l’Energie (au milieu) à présidé la cérémonie d’ouverture de l’atelier

Le Secrétaire général du Ministère de l’Energie, M. Jean-Paul YANOGO, a présidé, le mercredi 05 février 2020 à Ouagdougou, la cérémonie d’ouverture de l’atelier national de validation du plan d’actions genre et énergie-Burkina Faso. L’objectif de ce plan d’actions est de parvenir, à terme, à accroître la participation des femmes dans le secteur de l’énergie.

L’élaboration du plan d’actions national pour l’intégration du genre dans l’accès à l’énergie (PAGEB) répond à la problématique de l’intégration des femmes dans le domaine énergétique. En effet, selon M. Jean-Paul YANOGO, il s’agit de lever les obstacles à la participation de ‘’l’autre moitié du ciel’’ à l’expansion de l’accès à l’énergie. Ainsi, en collaboration avec le Centre pour les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique (ECREEE), plusieurs étapes ont été nécessaires pour la réalisation du PAGEB. Il s’agit entre autres de l’analyse de la base de données, la définition des objectifs et des priorités nationales et l’élaboration de la cartographie des parties prenantes.

Plusieurs étapes ont été nécessaires à l’élaboration du plan d’actions

« Le plan d’actions porte sur des questions de formations, de motivations des jeunes filles et des femmes à s’intéresser aux métiers de l’énergie. Des actions vont être menées également pour permettre aux femmes d’avoir accès à l’énergie. » a-laissé entendre M. Bourahima NABI, Directeur des études et des statistiques sectorielles, par ailleurs président de la cellule genre du Ministère de l’énergie.
Une cinquantaine de participants issus de plusieurs structures ont apporté leurs amendements au document provisoire du PAGEB. Ce dernier a été jugé réaliste et réalisable d’où sa validation à l’issue de l’atelier.

Les participants ont validé le plan d’actions jugé réaliste et réalisable

Les actions proposées seront réalisées avec le concours de la cellule genre du département de l’énergie, créée en avril 2019 par un arrêté ministériel.

La mise en œuvre du plan d’actions se fera avec le concours de la cellule genre du Ministère de l’Energie

En rappel, la politique de l’intégration du genre pour l’accès à l’énergie de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) a été adoptée par les Chefs d’Etat le 4 juin 2017. Son objectif principal est de garantir l’égalité des sexes dans le secteur de l’énergie.

DCPM/ME

Le Secrétaire général du Ministère de l’Energie, M. Jean-Paul YANOGO, a présidé, le mercredi 05 février 2020 à Ouagdougou, la cérémonie d’ouverture de l’atelier national de validation du plan d’actions genre et énergie-Burkina Faso. L’objectif de ce plan d’actions est de parvenir, à terme, à accroître la participation des femmes dans le secteur de l’énergie.

L’élaboration du plan d’actions national pour l’intégration du genre dans l’accès à l’énergie (PAGEB) répond à la problématique de l’intégration des femmes dans le domaine énergétique. En effet, selon M. Jean-Paul YANOGO, il s’agit de lever les obstacles à la participation de ‘’l’autre moitié du ciel’’ à l’expansion de l’accès à l’énergie. Ainsi, en collaboration avec le Centre pour les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique (ECREEE), plusieurs étapes ont été nécessaires pour la réalisation du PAGEB. Il s’agit entre autres de l’analyse de la base de données, la définition des objectifs et des priorités nationales et l’élaboration de la cartographie des parties prenantes.
« Le plan d’actions porte sur des questions de formations, de motivations des jeunes filles et des femmes à s’intéresser aux métiers de l’énergie. Des actions vont être menées également pour permettre aux femmes d’avoir accès à l’énergie. » a-laissé entendre M. Bourahima NABI, Directeur des études et des statistiques sectorielles, par ailleurs président de la cellule genre du Ministère de l’énergie.
Une cinquantaine de participants issus de plusieurs structures ont apporté leurs amendements au document provisoire du PAGEB. Ce dernier a été jugé réaliste et réalisable d’où sa validation à l’issue de l’atelier.
Les actions proposées seront réalisées avec le concours de la cellule genre du département de l’énergie, créée en avril 2019 par un arrêté ministériel.
En rappel, la politique de l’intégration du genre pour l’accès à l’énergie de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) a été adoptée par les Chefs d’Etat le 4 juin 2017. Son objectif principal est de garantir l’égalité des sexes dans le secteur de l’énergie.

DCPM/ME

La réunion conjointe des Ministres en charge des Hydrocarbures et de l’Environnement de la Commission économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO), ouvre ses portes demain à Ouagadougou. Cette rencontre est placée sous le patronage de SEM Christophe Marie Joseph DABIRE. En prélude à cette importante séance de travail de haut niveau, les experts énergie et environnement de l’espace tiennent ce 05 février 2020 dans la capitale burkinabè une réunion préparatoire.

Présidium de la réunion des experts préparatoire de la réunion des ministres

Cette réunion des experts s’est ouverte sous la co-présidence du ministre de l’Energie Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO et du ministre de l’Environnement, de l’économie verte et du changement climatique Monsieur Batio BASSIERE.

Aux dires du ministre de l’Environnement, la session préparatoire va permettre aux experts de faire le point sur les deux documents phares qui seront présentés aux ministres. Il s’agit de l’étude pour l’harmonisation des spécifications des produits pétroliers et des limites d’émissions des véhicules dans l’espace et l’étude relative à l’élaboration de la stratégie régionale pour la vulgarisation du gaz de pétrole liquéfié (GPL) comme énergie de cuisson domestique.

Le premier document vise, comme l’indique son nom, à harmoniser les spécifications du carburant qui diffèrent d’un pays à l’autre. L’objectif est de parvenir à une réduction du soufre contenu dans le carburant distribué au sein de l’espace. « Il nous faut aussi éviter que nos pays deviennent les dépotoirs des véhicules et carburants hors normes », a mis en garde le ministre de l’Energie, car dira Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO, ce sont des facteurs de dégradation de la qualité de l’air. Ils constituent donc un danger pour la santé de la population et la préservation du milieu naturel.

Quant à la seconde étude relative à la stratégie régionale pour la vulgarisation du gaz de pétrole liquéfié (GPL) comme énergie de cuisson domestique, elle, vise à éviter l’utilisation des combustibles solides et du kérosène comme source d’énergie domestique. En effet, ces sources présentent de nombreux dangers sur la santé humaine d’où la détermination des Chefs d’Etats de la CEDEAO à y trouver des solutions palliatives d’où la vulgarisation du gaz de pétrole liquéfié (GPL).

L’objectif final de la réunion conjointe des ministres est de parvenir à une expansion du secteur des hydrocarbures et son harmonisation dans un cadre légal, règlementaire et surtout écologique dans la CEDEAO. Les décisions souveraines qui y découleront, vont, aux dires du Commissaire Energie et Mine de la CEDEAO, M. Sediko DOUKA, permettre aux populations d’utiliser des carburants propres dans un environnement sain.

Cette initiative de la CEDEAO bénéficie de l’accompagnement du Programme des Nations Unis pour l’Environnement et de nombreux partenaires. Ces collaborations dites concrètes ont été salué par le Représentant Pays de CEDEAO M. Tièna COULIBALY au vu des nombreux avantages qui en découleront.

 

DCPM ME

 

 

 

 

Le Premier Ministre, aidé de plusieurs autorités du pays, a procédé à la pose symbolique de la 1ère plaque solaire de la centrale solaire de Pâ

C’est parti pour les travaux de construction de la centrale solaire photovoltaïque de 30 MW de Pâ ! SEM Christophe Marie Joseph DABIRE, a, au nom du président du Faso, procédé à la pose symbolique de la plaque solaire, le samedi 1er février 2020 dans ladite localité. Située dans la province des Balé, région de la Boucle du Mouhoun, Pâ est la 1ère localité a bénéficié d’une centrale solaire dans le cadre du partenariat public-privé. Devant une population sortie nombreuse, le Premier Ministre a réaffirmé ainsi, l’engagement de l’Etat à accroître l’offre énergétique au profit de tout le peuple du Burkina Faso.

 

L’Etat burkinabè a entrepris en 2016, une transition énergétique vers les énergies renouvelables avec une part importante accordée au solaire. Depuis, des actions fortes ont été engagées pour permettre la fourniture efficiente de l’énergie et reformer les systèmes énergétiques afin de les rendre sécurisés, abordables et respectueux de l’environnement.

La pose symbolique de la plaque solaire par SEM Christophe Marie Joseph DABIRE marque le démarrage effectif des travaux de la centrale solaire photovoltaïque de Pâ. D’une capacité de 30 MWc pour une production annuelle attendue de 51,7 GWh, elle vise d’une part, à augmenter l’offre de service électrique par injection de l’énergie solaire dans le réseau de la SONABEL. D’autre part, cette centrale permettra de réduire la facture énergétique du pays.

Il s’agit de la concrétisation des accords de partenariat signés entre le Ministère de l’Energie des Producteurs indépendants d’électricité (PIE). Ces accords ont été signés en marge de la 3e édition de la Semaine des énergies et énergies renouvelables d’Afrique (SEERA) pour la production et l’exploitation de 155 MW d’énergie solaire. « Avec ces centrales solaires l’opportunité est donnée au secteur économique d’avoir accès à un KWh acceptable et de donner au secteur de l’énergie une compétitivité face à la sous-région » a laissé entendre le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO.

Le Ministre Bachir Ismaël OUEDRAOGO a exhorté les autres entreprises privées à emboîter le pas à URBASOLAR

La centrale solaire de Pâ sera réalisée par l’entreprise URBASOLAR. Un pas que le Ministre de l’Energie a exhorté les autres entreprises privées à franchir.

Les travaux de la centrale vont durer 10 mois et consisteront en la pose de 85 708 modules solaires de 350 Wc et de 240 onduleurs de 125 KvA sur 35 ha pour une durée de vie minimum de 25 ans. Selon M. Arnaud MINE, PDG de URBASOLAR « Nous avons aussi prévu des mesures d’accompagnement comme des formations au profit des jeunes dans le métier de l’énergie. Nous mettrons également en place des actions de microfinance pour les femmes de la localité ».

Pâ, Wona, Houndé, Yaramoko et Boromo sont les localités bénéficiaires de la réalisation. Elle permettra également la promotion de l’entreprenariat, l’apprentissage des jeunes aux métiers des énergies renouvelables et le développement de l’économie locale de la région de la Boucle du Mouhoun.  En outre la centrale contribuera à l’amélioration de la qualité de l’offre de services de santé, d’enseignement et de production agro-sylvo-pastorale. Pour Mme Salimata BONOU, maire de la commune Pâ, les retombées de la réalisation impacteront l’ensemble du pays.

Mme Salimata BONOU, maire de Pâ, a salué la construction de la centrale dans la localité dont elle a la charge

Les autorités ont eu droit à une présentation de la future centrale solaire photovoltaïque de Pâ.  « Il convient de saluer la vision du président du Faso car nous sommes en train d’évoluer pour assurer une sécurité énergétique à notre pays. Si nous arrivons à continuer ainsi, nous sommes convaincus que le développement ira de l’avant. », a laissé entendre le Premier Ministre.

Les populations ont pris d’assaut l’aire réservée à la cérémonie pour manifester leur satisfaction. Un sentiment exprimé par le chef de Pâ qui a d’ailleurs formulé des bénédictions pour le bon déroulement des travaux.

La population de Pâ est sortie massivement pour manifester sa satisfaction

Le coût de la construction de la centrale solaire photovoltaïque de Pâ est de  13 615 390 000 FCFA .

En marge de la cérémonie de la pose symbolique de la plaque solaire, le Larlé Naaba en collaboration avec l’entreprise URBASOLAR, a procédé à la remise d’une ambulance à la localité de Pâ. Ce don entre dans le cadre de la Responsabilité sociétale des entreprises (RSE).

 

DCPM/ME

 »Les parties » ont salué la naissance de ce partenariat

Dans le souci de disposer de compétences locales en énergie au Burkina Faso, le Ministère de l’Energie et l’Université Aube nouvelle (U-AUBEN) viennent de parapher une convention cadre de Partenariat. En présence de leurs collaborateurs, le Ministre Bachir Ismaël OUEDRAOGO et M. Gnatan Isidore KINI, Président Directeur Fondateur de l’U-AUBEN, ont procédé à la signature de cette convention, le vendredi 24 janvier 2020 à Ouagdougou.

Le Ministre de l’Energie et le Président Directeur Fondateur de l’U-AUBEN ont signé une convention de partenariat cadre

 

Appelés ‘’Les Parties’’, ces désormais collaborateurs s’engagent à conjuguer leurs efforts pour la mobilisation des ressources humaines, financières et matérielles nécessaires à la réalisation des activités développées dans le cadre de ce partenariat. Ce dernier consiste, entre autres, pour l’U-AUBEN à concevoir des formations adaptées aux besoins du Ministère de l’Energie et à orienter vers le Ministère de l’Energie, les meilleurs étudiants en fin de cycles dans les filières du Génie électrique et des métiers de l’électricité, de l’énergie et de l’efficacité énergétique pour l’obtention de stages pratiques. « Nous savons que l’une des ambitions du gouvernement est de parvenir à une autonomie d’énergie dans le pays, nous sommes prêts à l’y accompagner à travers les formations que nous dispensons à nos étudiants », a assuré M. KINI. Et d’ajouter que l’U-AUBEN mettra à la disposition du Ministère des ingénieurs de travaux et des ingénieurs de conception.

Le Département de l’Energie, quant à lui, s’engage entre autres, à encourager et soutenir ses agents pour suivre les programmes de formation en ingénierie des questions énergétiques, ainsi qu’en management de l’environnement et de la transition écologique et énergétique, ou tout autre programme de formations de l’U-AUBEN, pouvant contribuer à améliorer l’efficacité de son fonctionnement et du fonctionnement des structures rattachées.

A en croire le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO, cette convention cadre de partenariat, en plus de booster le secteur de l’énergie, permettra de consolider le tissu économique du Burkina Faso. C’est en cela qu’il a salué cette collaboration naissante qui s’inscrit aussi comme un pourvoyeur d’emplois au profit de la jeunesse burkinabè.

 

DCPM/ME

Les acteurs du secteur de l’Energie du Burkina Faso ont validé, le vendredi 17 janvier 2020 à Kaya, à l’issu de deux jours de travaux, leur stratégie de communication assortie d’un plan d’Actions. Ils disposent désormais d’un document de référence dans lequel sont insérés de façon harmonieuse et rationnelle toute initiative, toute action de communication destinée à soutenir le développement du secteur et à promouvoir le mieux-être des populations.

Le Secrétaire général du Ministère de l’Energie, Monsieur Jean-Paul YANOGO (au milieu), présidant la cérémonie d’ouverture de l’atelier national de validation de la stratégie de communication du secteur de l’Energie

L’adoption est intervenue au terme de l’atelier national organisé à cet effet par le Ministère de l’Energie et le Projet d’Appui au secteur de l’électricité (PASEL). Présidé par le Secrétaire général du Ministère de l’Energie, Monsieur Jean-Paul YANOGO, l’atelier national de validation de la stratégie de communication du secteur de l’Energie s’est tenu du jeudi 16 au vendredi 17 janvier 2020 à Kaya, région du Centre-nord.

Il a regroupé plus d’une cinquantaine de participants composés des acteurs du secteur de l’Energie, des communicateurs du Ministère et des structures et projets partenaires.

Y ont pris également part, les communicateurs de plusieurs départements ministériels et des personnes ressources. Ensemble, ils ont travaillé à enrichir, amender et valider le document. En effet, les travaux se sont déroulés dans une approche de complémentarité et de synergie pour abouti à une stratégie de communication assortie d’un plan d’actions triennal qui satisfait tous les acteurs.

Monsieur YANOGO a félicité les organisateurs et salué la qualité de la ressource humaine et le choix des participants. « Je suis rassuré qu’avec la vingtaine de communicateurs en plus des partenaires et des autres acteurs nous auront un document fiable ».

Dans la première phase, les participants ont travaillé en plénière. S’en ait suivi des travaux de groupe. En effet, trois groupes ont été constitué à cet effet pour réfléchir sur les trois axes de communication contenus dans le document. Il s’agit de l’axe 1 la communication institutionnelle, l’axe 2 la communication pour la visibilité des actions du secteur et l’axe 3 la communication pour le renforcement de la cohésion et de la participation des acteurs du secteur de l’Energie.

Le Directeur de la communication et de la presse ministérielle du ministère de l’Energie, Ali SAOUADOGO

A l’issu des concertations, les participants ont recommandé la prise en compte des préoccupations des ministères dont les domaines d’intervention ont un lien avec le secteur de l’Energie à savoir l’environnement, l’eau, les mines, le commerce, …). Les indicateurs, cibles, outils et les contenus des messages ont aussi été questionnés lors des débats. En effet, les acteurs des médias ont recommandé la réalisation d’actions fortes dans les organes de presse qui constituent des partenaires incontournables de la mise en œuvre de la stratégie.  Ils ont aussi proposé l’élargissement des cadres de concertation du ministère aux structures partenaires.

De façon générale, les participants ont félicité le Cabinet IFC Afrique pour le document de stratégie proposé. Aux dires de monsieur YANOGO, cette stratégie est appelée à être un véritable gouvernail devant amener le Ministère en particulier et le secteur de l’Energie en général, à construire les bases solides sur lesquelles reposeront désormais leur communication.

Les participants ont proposé l’élargissement des cadres de concertation du ministère aux structures partenaires.

Déjà, l’ambition affichée par le ministère est d’accroître l’offre, de réduire le coût de l’électricité tout en augmentant la part des énergies renouvelables. Aux noms des premiers responsables du département Mme Chantal Lamou KI, représentant monsieur le Secrétaire général à la cérémonie de clôture, a remercié les participants pour la pertinence de leurs apports. « Vos réflexions se sont clairement orientées vers une stratégie qui contribuera de manière efficace à accroître la visibilité de notre secteur ». Elle leur a donné l’assurance que les différentes contributions seront prises en compte dans l’édition du document final pour le bonheur de toute la population.

La photo de famille a mis fin à l’atelier national de validation de la stratégie de communication du secteur de l’Energie assortie d’un plan d’Actions.

 

 

DCPM ME

 

 

DAO-fr-Campagne_de_mesures_solaires[189]

Pour de plus amples informations, veuillez prendre attache avec la Direction générale des énergies renouvelables (DGER) à Ouagadougou.