Monsieur Arzouma Médard ZOURE est désormais le comptable principal des matières du ministère de l’Energie. Il a été installé dans ses fonctions, ce lundi 23 avril 2018, par le Secrétaire Général du département. Nommé en conseil des Ministres le 1er mars 2018, Monsieur ZOURE aura la lourde tâche d’assurer le suivi administratif mobilier et immobilier en quantité et en valeur, la description, le suivi et le contrôle des mouvements, la fourniture de renseignements utiles à l’administration des matières.
Le nouveau comptable principal des matières dit prendre la mesure des responsabilités qui lui incombent. Aussi, pour la réussite de sa mission, il sollicite l’accompagnement des premiers responsables du Ministère de l’Energie.
La nomination des comptables principaux des matières dans tous les ministères et institutions s’inscrit dans le nouveau cadre harmonisé des finances publiques. L’objectif étant la bonne gouvernance du patrimoine non financier de l’Etat.

Le Ministre de l’Energie, Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO a reçu ce vendredi, une mission du Millénium Challenge Corporation (MCC) conduite par son Directeur Pays. Monsieur Michael J. Simsik. Ed. D. est venu présenter au Ministre le draft de propositions sur les axes d’intervention de la deuxième phase du compact.
Quatre grands axes sont déclinés dans ce draft en ce qui concerne le volet énergie. Il s’agit du renforcement de l’efficacité dans le domaine de l’électricité, l’accroissement de l’offre moins couteuse à travers des propositions de pistes de solutions, le renforcement du réseau de transport et de distribution et enfin l’accès et la valorisation de l’électricité.
Le Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO a apprécié, dans son ensemble, le travail abattu par la mission. En cohérence avec les objectifs du MCC, Monsieur le Ministre a précisé ses attentes afin de parfaire le document final.

Le ministre de l’Energie, des Mines et des Carrières, Alfa Omar Dissa a lancé, le lundi 23 janvier 2017 à Ouagadougou, le Projet d’extension et de renforcement des réseaux électriques au Burkina Faso (PERREL).

Avec un taux d’électrification de 18,83%, le Burkina Faso reste un pays où le taux d’accès à l’électricité est faible. Cette situation est prise à bras-le-corps par les nouvelles autorités qui ont mis en place une politique énergique en vue de rendre l’énergie accessible et disponible aux populations. C’est pour échanger sur l’état d’avancement du  Projet d’extension et de renforcement des réseaux électriques au Burkina Faso (PERREL) et le rôle attendu de chaque acteur que le ministre de l’Energie, des Mines et des Carrières, Alfa Omar Dissa, a procédé au lancement du projet à travers un atelier, ce lundi 23 janvier 2017. Selon le ministre Dissa,  cette rencontre va permettre de mettre à jour le calendrier d’exécution du projet et de former les acteurs sur sa mise en œuvre. Il a avancé que ce projet marque un point important dans la mise en œuvre de la politique nationale en matière d’électrification et de façon précise, le démarrage du programme énergie articulé autour de l’axe 3 du Plan national de développement économique et social (PNDES) à savoir «Accroitre l’accès des populations aux services énergétiques modernes». Financé à hauteur de 37 millions de dollars US soit environ 20 milliards 350 millions de francs CFA par la Banque islamique de développement (BID), ce projet va permettre d’augmenter le taux d’accès à l’énergie électrique à travers le raccordement de 35 000 ménages dans les villes de Ouagadougou, Bobo-Dioulasso et Koudougou grâce à de moyens de transport de flux adéquats. A en croire le ministre Dissa, la situation du réseau va s’améliorer d’ici à 2018-2019. Le chef de projet à la BID, Momar Sow, il a indiqué qu’il va  s’agir, dans un premier temps de sensibiliser les acteurs impliqués dans le projet sur les enjeux que celui-ci représente pour les populations et de situer les responsabilités, et dans un deuxième temps de favoriser une meilleure appropriation du projet par ces derniers.

Des recommandations pour une meilleure mise en œuvre du projet

Et de détailler que le financement est reparti  sous forme de prêt concessionnel de 10 millions de dollars US soit environ 5 milliards 500 millions de francs CFA et 27 millions de dollars US soit environ 14 milliards 485 millions de francs CFA sous forme  de prêt semi-concessionnel  sera remboursé en 25 ans avec 7 ans de grâce pour le prêt concessionnel et 15 ans avec une période de grâce de 3 ans. «Ce projet va permettre d’augmenter l’accès à l’électricité des zones périurbaines contribuant ainsi à une gouvernance sociale et inclusive conformément au mandat de la BID», a-t-il il souligné. Et c’est au vu de l’importance du projet que son chef à la BID a invité la Société nationale burkinabè d’électricité (SONABEL) à tout faire pour une mise en œuvre diligente du projet et à anticiper sur les délais de réalisation. «Il est crucial de mettre en place et très rapidement l’unité de gestion et de la rendre fonctionnelle, d’actualiser les plans de passation de marché et mettre en œuvre les actions qui en découlent dans de meilleurs délais. Les processus de passation de marché doit démarrer dès maintenant afin que le rendez-vous soit respecté», a insisté M. Sow. Selon le directeur général de la SONABEL, François de Salle Ouédraogo, ce projet viendra élargir le porte feuille clientèle de la société.  Aussi a-t-il laissé entendre, le renforcement de la liaison Kossodo-Ziniaré par une ligne haute tension de 90 kv va également permettre d’accroître la capacité de desserte de plusieurs localités du Plateau central, du Centre-Nord et du Sahel et de satisfaire les besoins  de la station de pompage de Ziga ainsi que ceux du nouvel aéroport de Donsin. C’est pourquoi il a souhaité voir le processus de mise en œuvre  du projet s’accélérer après cet atelier de lancement.

Donald Wendpouiré NIKIEMA

Sidwaya

Projet d’Electrification des Zones Peri-Urbaines de Ouagadougou et de Bobo Dioulasso (PEPU)

 

2.1 Objectif global

Le Projet d’Electrification des zones Péri-Urbaines de Ouagadougou et de Bobo-Dioualasso (PEPU) est un projet d’investissement portant sur l’extension des réseaux électriques et la réalisation de branchements. L’objectif général visé à travers le PEPU est d’accroitre le taux d’accès à l’électricité au Burkina plus spécifiquement dans les villes de Ouagadougou et Bobo Dioulasso.

 

2.2 Objectif(s) spécifique(s) :

Le projet vise à restructurer et à renforcer les réseaux électriques de distribution dans les deux villes et à les étendre aux zones péri-urbaines par (i) la construction de nouvelles lignes électriques en moyenne et basse tension ; (ii) la création de nouveaux postes de transformations MT/BT et le renforcement de postes existants ; (iii) le passage en coupure d’artère (système de double alimentation) de postes cabines desservis en antenne (simple alimentation); et (iv) la réalisation de 17 500 branchements au profit des ménages.

Par ailleurs, deux études ont également été prévues dans le projet. Il s’agit de :

(i) réalisation de l’étude de restructuration d’extension des réseaux électriques et de création d’un Bureau Centrale de Conduite (BCC) à Bobo-Dioulasso (y compris les EIES) ; et (ii) réalisation de l’étude de création d’un Centre de Conduite (CC) des réseaux de distribution à Ouagadougou.

 

2.3 Coût du projet

Le coût du projet est évalué à 31,422 milliards FCFA répartis entre la BAD, l’Etat Burkinabè et la SONABEL. Le financement de la BAD provient des ressources du guichet FAD et comprend un prêt de 20,60 millions d’unité de compte (UC), et un don de 6,63 millions d’UC, soit un total de 22,66 milliards de FCFA.

Il est prévu que ces ressources du FAD soient rétrocédées à la SONABEL dans les mêmes conditions que celles des accords signés entre l’Etat Burkinabè et le FAD.

 

2.4 Situation actuelle

2.4.1 Conventions de financement

Les conventions de financement ont été signées le 18 octobre 2016 entre le Gouvernement du Burkina Faso et le Fonds africain de développement (FAD), et certifiées le 08 novembre 2016 par le secrétariat général de la BAD.

Le processus de ratification est en cours sous la conduite de la DGCOOP.

 

2.4.2 Activités en cours

Le processus de sélection des entreprises pour la réalisation des travaux à Ouagadougou ainsi que la procédure de recrutement de l’ingénieur-conseil pour le contrôle et la surveillance des travaux ont été entamés et se poursuivent.

Projet d’appui au secteur de l’électricité au Burkina: La Banque mondiale octroie un financement additionnel de 40 milliards de  F CFA

Dans le cadre de la mise en œuvre du PASEL (Projet d’Appui au Secteur de l’Electricité), le Burkina Faso avait bénéficié d’un appui financier de la Banque mondiale  de l’ordre de 85 millions de dollars US soit environ 42,5 milliards de F CFA. Ce montant vient d’être revu à la hausse ce mardi 04 juillet 2017 à travers  un échange de notes entre Mme Hadizatou Rosine COULIBALY/SORI, ministre de l’Economie, des Finances et du Développement et M. Cheik F. KANTE, représentant résident de la Banque mondiale au Burkina Faso. Cet acte entérine une convention qui avait déjà été signée entre les deux parties et relative  à un  financement additionnel pour la mise en œuvre  du  Projet d’appui au secteur de l’électricité  (PASEL).  A travers ce financement   la Banque mondiale met à la disposition du Burkina Faso un nouveau prêt d’un montant de 80 millions de dollars US, soit environ  40 milliards de FCFA. Ce financement additionnel permettra au pays d’installer des centrales solaires connectées au réseau.

La Banque mondiale (BM) s’est engagée aux côtés du gouvernement burkinabè pour améliorer l’accès des populations à l’électricité. Le représentant de la BM au Burkina Faso, Cheik F. KANTE, et le ministre de l’Economie, des Finances et du Développement, Hadizatou Rosine COULIBALY/SORI, ont échangé des notes  ce mardi 4 juillet 2017, à Ouagadougou, pour entériner une convention qui avait été signée la semaine dernière, entre les deux parties et relative  à un  financement additionnel pour la mise en œuvre du Projet d’appui au secteur de l’électricité  (PASEL).   A travers ce financement additionnel d’environ  40 milliards de FCFA, la Banque mondiale entend contribuer à la mise en œuvre effective du Projet d’appui au secteur de l’électricité (PASEL) dont l’objectif global, à terme, est de procurer de l’énergie à moindre coût aux populations des villes et campagnes.

Ce financement additionnel porte à 82,5 milliards, le montant total du  financement que la  Banque mondiale met à la disposition du gouvernement burkinabè pour l’accompagner dans la mise en œuvre de sa politique en matière d’électricité.

Ces ressources additionnelles, de l’avis du ministre en charge de l’énergie, permettront   de mettre en œuvre  la composante 1 du Projet qui consiste à la réalisation de deux centrales solaires dont une de 20 MW à Koudougou, et l’autre de 10 MW à Kaya. Une partie de cette somme servira à réaliser des liaisons interurbaines en 90 KV pour sécuriser l’alimentation d’importants pôles économiques du pays et d’intégrer le solaire photovoltaïque dans le réseau national. Le reste du financement sera utilisé pour le renforcement institutionnel et le développement des capacités avec un accent particulier sur le renforcement des capacités des acteurs du secteur de l’énergie.

Pour Alpha Omar DISSA, ministre de l’Energie, des Mines et des Carrières, ce soutien vient à point nommé, car le gouvernement a entrepris d’accroître et de diversifier les sources de productions énergétiques pour répondre à la forte demande. Il a en outre indiqué que l’appui de la Banque mondiale permettra d’améliorer la viabilité financière du secteur de l’énergie.

Tout en exprimant la gratitude du gouvernement burkinabè à la Banque mondiale pour son accompagnement, Alpha Omar DISSA a rappelé que le secteur de l’énergie constitue un des piliers du PNDES et que  l’Etat compte s’appuyer fortement sur ce secteur pour réussir la transformation structurelle de l’économie du Burkina Faso.  Il a, par ailleurs, rassuré que son département prendra toutes les initiatives pour mener à bien ce projet.

Quant au représentant-résident de la Banque mondiale, Cheik F. KANTE, il a reconnu que le Burkina Faso est confronté à des défis cruciaux dans le secteur de l’électricité qui empêche son envol économique. Pour cela, il a interpelé le gouvernement à se tourner vers d’autres  sources d’électricité moins onéreuse et primordiale. Félicitant le gouvernement pour son leadership et son dynamisme, M. KANTE a rassuré de la disponibilité de son institution à toujours soutenir  le Burkina Faso.

Conformément à l’article 11 de la Loi 014/2017 AN du 20 avril 2017, l’Agence burkinabè d’électrification rurale a pour mission :

  • promouvoir une couverture équitable du territoire national en énergie électrique en développant l’électrification rurale à moindre coût ;
  • contribuer à la mise en œuvre du plan national d’électrification ;
  • faciliter l’accès des populations rurales à l’électricité ;
  • assurer la maitrise d’ouvrage déléguée dans le cadre de la réalisation des infrastructures ;
  • assurer la supervision des activités d’électrification rurale et d’utilisation de l’énergie en milieu rural entreprises par les autres institutions actives dans ces domaines ;
  • élaborer un rapport annuel à l’attention du ministre en charge de l’énergie et du régulateur sur les activités de l’électrification rurale.

Par ailleurs et ce conformément à l’article 11 de la Loi ci-dessus citée, l’ABER (ex-FDE) est chargée d’encadrer « sous le contrôle de l’Autorité de régulation, les personnes physiques, les structures coopératives et associatives d’électricité, les structures privées délégataires du service public en milieu rural » chargées d’assurer les missions de service public dans les localités objet de leur concession.

Ouaga 2000, Avenue El Hadj Salifou CISSE

01 BP 545 Ouagadougou 01 – Brukina Faso

Tél.: +226 25 37 45 01 /

Fax : +226 25 37 43 11

Email: contact@aber.bf / fde@fasonet.bf

Site web : www.aber.bf

L’Agence Nationale des Energies Renouvelables et de l’Efficacité Énergétique (ANEREE) est un Etablissement Public de l’Etat (EPE) créé en décembre 2016 avec pour mission de susciter, animer, coordonner, faciliter, et réaliser toutes opérations ayant pour objet le développement des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique au Burkina Faso.
La question de l’énergie est une priorité gouvernementale à laquelle vient répondre l’ANEREE.
ORGANISATION DE L’ANEREE
v Le centre de transfert de connaissances;
v La division des Energies Renouvelables;
v La division de l’Efficacité Énergétique;
v La direction de la coordination qui est constituée de trois (03) entités opérationnelles:
1. Le bureau des projets et programmes
Ce bureau a pour mission :
Ø Centralisation et gestion du portefeuille des projets et programmes;
Ø Élaboration des supports projets (Template de présentation, tableau de bord, etc.);
Ø Élaboration des documents projet (rapport projet, Plan d’exécution, Budget, etc.);
Ø Formulation des indicateurs de performances des projets et programmes;
Ø Planification des activités des projets et programmes;
Ø Suivi de l’exécution des projets et programmes;
Ø Consolidation des informations relatives aux projets et programmes;
Ø Analyse et validation des propositions de projet et programmes externes;
Ø Rapport de l’état d’avancement des projets à la Direction Générale;
Ø Formations du personnel sur les techniques de montage de projet et programmes conformément au Template élaboré;
Ø Archivage des documents.
2. Le service de mobilisation des ressources et du plaidoyer
Ce service est chargé de :
Ø Mener des actions de mobilisation de partenaires techniques et financiers, des décideurs politiques autour des actions de l’Agence;
Ø Assurer la pérennité des financements reçus des réseaux de donateurs existants et d’élargir vers de nouvelles sources de financement pour les projets et programmes;
Ø Développer et optimiser la mobilisation des ressources pour les projets/programmes et les partenaires en établissant et en entretenant des relations avec les donateurs;
Ø Suivre de près les derniers développements au sein de la communauté des bailleurs de fonds dans la région;
Ø Élaborer des plans de plaidoyer de l’Agence.
3. Le service partenariat
Ce service:
Ø supervise tous les projets (élaboration, mise en œuvre et suivi);
Ø intervient dans la budgétisation des projets;
Ø initie les partenariats (contacts et mise en relation);
Ø élabore la stratégie de partenariat.
MISSIONS
Le rôle de l’ANEREE se résume en six missions essentielles :
1. Contrôler, encadrer et favoriser le marché des ER/EE;
2. Établir une stratégie nationale de promotion de l’Efficacité Énergétique;
3. Accompagner, valoriser et piloter les projets d’envergure nationale;
4. Fédérer le privé, les ONG et les partenaires techniques et financiers dans le domaine des ER/EE;
5. Exécuter des prestations commerciales et toutes autres missions de services publics dans le domaine des ER/EE;
6. Soutenir la recherche, l’innovation et la formation dans le domaine des ER/EE.
OBJECTIFS
L’ANEREE a pour objectifs :
– De faciliter l’accès à l’énergie à la population urbaine et rurale;
– Exécuter la politique énergétique du gouvernement;
– Favoriser la transition énergétique à travers une meilleure maîtrise de l’efficacité énergétique;
– Réduire la dépendance vis-à-vis des énergies fossiles;
– Réguler le secteur des ER;
– Profiter des potentialités géographiques du Burkina Faso pour soulager l’économie des déficiences énergétiques.
DOMAINES DE COMPÉTENCES
L’ANEREE intervient dans les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique.
Ø Energies Renouvelables (ER)
On appelle « énergie renouvelable » toute source d’énergie se renouvelant assez rapidement pour être considérée inépuisable à l’échelle du temps humain. On distingue :
1. Energie éolienne
Il s’agit de l’énergie produite par le vent à travers un dispositif aérogénérateur qui transforme le vent en énergie mécanique à son tour transformé en énergie électrique par le biais de machine.
2. Energie solaire
C’est l’énergie issue directement de la captation du rayonnement solaire pouvant produire de l’électricité ou de la chaleur.
3. Biomasse (Biogaz)
La biomasse provient de diverses matières comme le bois, les récoltes, les résidus agricoles et forestiers, les récoltes, les déchets alimentaires, industriels et les matières organiques.
Des technologies permettent de convertir la biomasse en chaleur, en électricité, en biocarburant ou en biogaz.
4. Géothermie
C’est l’énergie issue de la chaleur émise par la terre stockée dans le sous-sol.
5. Hydraulique /Marine
L’énergie hydraulique est l’énergie fournie par la chute de l’eau qui actionne des turbines génératrices d’électricité.
L’énergie marine quant à elle est produite par les vagues, marées ainsi que l’énergie thermique de l’océan chauffé par les rayons solaires.
Ø Efficacité Énergétique
L’efficacité énergétique désigne le fait de consommer moins qu’avant pour fournir des services énergétiques équivalents.
Nos activités quotidiennes sont très énergivores, qu’il s’agisse de chauffer ou refroidir, ou encore d’utiliser des appareils et des services électriques. L’étiquetage énergétique est une mesure permettant de déterminer l’efficacité énergétique des appareils, du matériel.
Prenons l’exemple de l’éclairage dans votre maison. Il y a quelques années, les lampes à incandescence étaient la norme. Toutefois, l’utilisation de nouvelles technologies, comme les lampes fluorescentes ou les LED, permet désormais de fournir la même puissance d’éclairage tout en réduisant de manière considérable la consommation d’énergie
ADRESSE COMPLÈTE
AGENCE NATIONALE DES ENERGIES RENOUVELABLES ET DE EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE (ANEREE)
18 BP 212 Ouagadougou 18 Boulevard Muammar Kaddafi après l’échangeur Ouaga 2000, 1er immeuble à gauche avant WASCAL et IAM.
Téléphone : +226 25 37 47 47 Courriel : aneree.bf@gmail.com

La Société Nationale d’Electricité du Burkina (SONABEL) est une société d’Etat au capital de soixante-trois milliards trois cent huit millions deux cent soixante-dix (63 308 270 000) Francs CFA exclusivement détenu par l’Etat Burkinabè. Elle relève de la tutelle de trois ministères à savoir :

  • le Ministère de l’Energie, (ME) pour la tutelle technique;
  • le Ministère de l’Economie, des Finances et du Développement (MINEFID) pour la tutelle financière;
  • le Ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (MICA) pour la tutelle de gestion.

La SONABEL est administrée par un Conseil d’Administration composé de neuf (9) membres et est dirigée par un Directeur Général. L’instance supérieure de décision est l’Assemblée Générale des Sociétés d’Etat. Un organigramme en vigueur depuis 2012 subdivise la SONABEL en huit directions centrales qui sont :

  • la Direction de la Production;
  • la Direction du Transport;
  • la Direction de la Distribution;
  • la Direction Commerciale et de la Clientèle;
  • la Direction des Etudes, de la Planification et de l’Equipement;
  • la Direction des Finances et de la Comptabilité;
  • la Direction des Marchés et du Patrimoine;
  • la Direction des Ressources Humaines.

La Direction Générale est assistée par des Conseillers Techniques et comprend en outre des Départements et des cellules de projets rattachés.
La SONABEL produit, importe, transporte et distribue de l’énergie électrique sur toute l’étendue du territoire national couvrant au 30 juin 2014 plus de 204 localités. Elle dispose d’un Réseau National Interconnecté (RNI) reliant les deux (02) villes principales que sont Ouagadougou et Bobo-Dioulasso, des mini-réseaux structurants reliant à petite échelle certaines localités et enfin des centres isolés.

55, Avenue de la Nation
Ouagadougou
01 BP 54 Ouagadougou
Burkina Faso
(226) 25 30 61 00 / 02 / 03 / 04
(226) 25 31 03 40
http://www.sonabel.bf
: Dépannage Nº vert : 80 00 11 30 Tél. : 25 31 37 20

Site web : www.sonabel.bf

– PROGRAMME D’ELECTRIFICATION RURAL YELEEN, CADRE DE GESTION ENVIRONNEMENTALE ET SOCIAL

– PROJET ELECTRIFICATION RURALE YELEEN-CADRE DE REINSTALLATION